Afrique
Kònoba
Nouhoum a construit un cerf-volant avec ce qu’il avait sous la main et il est ravi de le faire tournoyer tous les jours. Dans la brousse, hommes et animaux aiment le regarder. On l’appelle Kònoba, le grand oiseau.
NB
Afrique
Nouhoum a construit un cerf-volant avec ce qu’il avait sous la main et il est ravi de le faire tournoyer tous les jours. Dans la brousse, hommes et animaux aiment le regarder. On l’appelle Kònoba, le grand oiseau.
NB
Afrique
Cet album du Père Castor a été publié pour la première fois en 1968. Il est ressorti, comme petit à petit tous les titres de la collection, avec un dos carré qui le rendra plus visible dans les rayons des bibliothèques.
NB
Monde Arabe
Un joli petit livre accordéon, au texte entièrement vocalisé, destiné aux tout-petits. À la différence de [De la graine à la fleur] من بذرة إلى زهرة, publié par le même éditeur, il n’est manipulable que dans un seul sens : de droite à gauche. Sur ses pages est racontée la vie d’une tomate particulière. C’est en effet la première tomate mûre du jardin d’Abou Youssef. Quelle joie quand celui-ci la découvre ! « Je la laisserai à Oum Youssef », se dit-il, « elle sera contente de la cueillir elle-même »...
SA
Monde Arabe
Les amateurs des histoires de T’choupi, le petit garçon-pingouin, seront heureux de le retrouver dans ce nouvel album traduit en arabe ! Notre célèbre héros a reçu un vélo pour son anniversaire. Il s’élance dans le jardin, s’enhardit au point de lâcher le guidon… Patatras ! La chute est brutale. Heureusement que sa maman est là pour le soigner…
HC
Monde Arabe
« Notre famille est une grande et délicieuse salade composée », c’est ce que Farah a toujours entendu de la bouche de sa mère. Farah vit aujourd’hui en France mais elle est née en Égypte d’une mère égypto-polonaise et d’un père égypto-syrien. Elle a une grand-mère polonaise, une grand-mère syrienne et une arrière-grand-mère égyptienne. Elle nous raconte l’histoire de ces femmes exceptionnelles et, pour chacune d’entre elles, nous fait découvrir une de leurs spécialités, un plat cuisiné « à leur manière » et qu’elle adore.
SR
Monde Arabe
La maman de Nabil l'appelle. Elle lui annonce une surprise et veut lui montrer un album qui contient de petits clichés en noir et blanc : ce sont des images d’un embryon obtenues par échographie. D'abord interloqué, voire incrédule, Nabil se montre vite intéressé et attentif.
LV
Monde Arabe
Dolola est une nouvelle maison d’édition en langue arabe, fondée par deux libanaises vivant en France. Elles proposent des livres cartonnés sonores pour les tout-petits afin de transmettre les chansons traditionnelles et comptines du patrimoine libanais populaire.
NS
Monde Arabe
L’enfance a ses lieux magiques, le terrain vague est l’un de ces plus beaux territoires. Îlot de liberté et formidable aire de jeux avec promesse de mystère, de danger, de trésors, de moments secrets, abolition du temps, Géraldine Hérédia fait très joliment passer la force de cet espace dans ces huit petits textes, réminiscence de son enfance.
PJ
Monde Arabe
La petite Hind a une relation privilégiée avec Ariouli (âne en berbère), un animal entêté qui n’obéit qu’à elle. Quand elle quitte le village pour être interne au collège, en ville, tout bascule ! Les résultats scolaires de son frère et de sa sœur dégringolent, Ariouli dépérit… La mère de Hind menace même de le vendre !
HC
Monde Arabe
Shif a de grands rêves, du haut de ses quatorze ans : amoureux des mathématiques, il deviendra ingénieur. Son meilleur ami, Bini, se destine à la médecine. Les deux adolescents sont inséparables, d’autant plus qu’ils sont voisins.
Mais la bulle de normalité dans laquelle évoluent les garçons vole en éclats. Dans cette dictature qui ne dit pas son nom, des soldats sont à leur recherche pour les conduire à « l’école militaire » dont on ne sort jamais...
HC
La jeune Tènin, élève en 6e, va aider, avec sa famille, à défricher un champ pour le mariage d'un cousin. Quelques arbres échappent cependant aux coupes et continuent à trôner au milieu du champ. Parmi eux, le néré.
Après L’heure égyptienne et Les yeux Fayoum, Ramona Bãdescu nous entraîne sur un des sites les plus connus et sans doute les plus visités d’Égypte pour le dernier volet de cette trilogie. Sans doute aurait-elle choisi un autre cadre si une pandémie mondiale ne lui avait pas offert l’opportunité d’y déambuler sans être confrontée à des hordes de touristes pressés. Toujours en compagnie de Benoît Guillaume à la partition graphique, très réussie elle aussi, elle arpente les lieux livrés à une quiétude singulière laissant son inspiration poétique être guidée par la puissance évocatrice du soleil, dieu Rê dans la mythologie égyptienne, créateur de l'univers, dans un magnifique dialogue entre passé et présent.
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Les mercredis, Lila adore aller chez sa mamie. Il faut dire que celle-ci cache dans son grenier un secret fabuleux : une machine à voyager dans le temps. Ensemble, elles partent en 1801, à la découverte du passé de leur île, La Réunion.