Qui a tué N'nang mône ngo'o, le petit silure ?
Sur le principe de la randonnée, l’histoire ne manque pas de saveur ; certes le malheureux silure a bien été écrasé par l’éléphant, mais n’est-ce pas plutôt la faute de la tortue, du serpent noir, de l’antilope et de bien d’autres encore, tous entraînés dans une chaîne folle ? Sur ce principe de narration, l’histoire, efficace, se déroule gaiement jusqu’à sa morale attendue… La mise en page, la typographie, la qualité de la reproduction des illustrations, auraient pu servir le récit encore mieux… pour une prochaine réédition peut-être ?
ML