Dans son village du Brésil, Bruna était très seule. Heureusement, sa merveilleuse grand-mère lui racontait des histoires de sa terre d’origine, l’Afrique.
Lilani, petite fille espiègle, vit dans le village manjak de Ba Safal, en Guinée-Bissau. Elle passe ses journées avec Anta, sa cousine et meilleure amie, qui vit chez elle depuis que ses parents sont partis au Portugal, et ses autres cousins, Liam, Flora et Kaïss. Les cinq enfants forment une joyeuse bande et n’ont de cesse d’agrémenter leurs journées de nouvelles aventures.
Des poèmes pour dire l’horreur de la guerre en « une journée ordinaire » à Gaza : les débris jonchant les rues, les objets de la vie quotidienne dispersés, des vies éventrées… Et cette mère qui écrit sur le corps de ses enfants son propre prénom, le nom complet de l’enfant, son groupe sanguin et son adresse, pour que tout le monde sache qui ils sont en cas de blessure ou de mort ; une façon d’être sûre qu’ils ne mourront pas anonymes…
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.