Madame Zikan, surnommée Zik par ses élèves, professeure de SVT et particulièrement sensible aux questions d'environnement, donne un devoir bien particulier : trouver une feuille d'attiéké. Quatre élèves mènent l'enquête et partent à la recherche de la feuille.
Des poèmes pour dire l’horreur de la guerre en « une journée ordinaire » à Gaza : les débris jonchant les rues, les objets de la vie quotidienne dispersés, des vies éventrées… Et cette mère qui écrit sur le corps de ses enfants son propre prénom, le nom complet de l’enfant, son groupe sanguin et son adresse, pour que tout le monde sache qui ils sont en cas de blessure ou de mort ; une façon d’être sûre qu’ils ne mourront pas anonymes…
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.