Roland Brival nous propose un livre qui fait le lien entre passé et présent à travers les jouets de la Martinique, la Guadeloupe, la Réunion et la Guyane.
« Qu’est-ce que j’aime ? » se demande une petite fille. Dessiner, regarder la télévision, sauter à la corde, manger des beignets sucrés… Ce carnet souple de coloriage, écrit à la première personne, en français et en anglais, montre par des dessins clairs les activités préférées du jeune enfant, son monde proche. Simple et bien fait (il y a même une « chute » que les petits aimeront), c’est un bon premier petit livre « à soi » que l’on peut s’approprier par le choix des couleurs, à l’école ou à la maison. Il aura également sa place en bibliothèque car son intérêt dépasse le coloriage. (VQ)
Mbong habite dans la petite ville de Mbokambo, au Cameroun. Chaque double page de ce livret de coloriage montre une scène de sa vie quotidienne tout au long de la semaine : le lever du matin, le petit-déjeuner, la rue, la classe, la visite à l’hôpital… Des phrases courtes en français et en anglais commentent l’image et proposent des activités au lecteur : entourer des objets, relier des points, faire de petits calculs… (VQ)
Fatimata nous raconte son histoire. Elle est en CE2 à Tokombéré, une commune du Cameroun située dans une région à proximité de la frontière avec le Nigeria. Son école est à deux kilomètres de son village et sa motivation pour réussir à l’école est encore plus grande que la détermination de sa maman à s’engager pour son avenir.
Dans Macadam : courir les rues ماكادام. نتسكّع في الشوارع, publié en 2020, Mo Abbas s’intéressait à l’environnement urbain. Dans L’homme sans paysage : battre la campagne رجل بلا مناظر. يوميات تائه في الحقول, il se concentre sur l’environnement rural, le rapport de l’homme moderne à la nature, sa méconnaissance des espèces qui y vivent…
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.