Caraïbe
Sous les plastiques, la mer
Le plastique a tout envahi, rien n’est plus mangeable dans les fonds marins, ni les poissons ni les algues ne sont épargnés. Les sirènes empoisonnées demandent de l’aide aux humains.
CB
Caraïbe
Le plastique a tout envahi, rien n’est plus mangeable dans les fonds marins, ni les poissons ni les algues ne sont épargnés. Les sirènes empoisonnées demandent de l’aide aux humains.
CB
Caraïbe
A Campovilla le soleil a cessé de briller depuis un long moment et malgré les prières des habitants, rien ne change, l’atmosphère est toujours aussi sombre et pesante.
CB
Monde Arabe
Des illustrations délicates réalisées dans des tons pastel nous invitent à prendre connaissance de la mésaventure vécue au début du printemps par Halima, la colombe. Halima est tombée malade après avoir fait un tour en ville, où elle a suivi des voitures, puis, fatiguée, s'est posée sur la cheminée d'une usine pour se reposer. Elle souffre de la gorge, a du mal à respirer, et ne peut plus voler...
LV
Monde Arabe
À l’école des grenouilles, on apprend à coasser le plus laidement possible, à tirer la langue le plus loin possible (pour attraper les insectes), et on prend des leçons de plongée. Mais voilà qu’un jour, deux petites grenouilles se retrouvent coincées sous l’eau, dans quelque chose de très étrange qu’elles n’ont jamais vu.
MW
Monde Arabe
« La terre est enrhumée. Je l’ai entendue ce matin tousser et cela a provoqué un tremblement de terre. Elle a la fièvre et cela fait monter la température de l’eau… »
MW
Afrique
Voici un « conte documentaire » sur l’eau. À travers les aventures très illustrées de trois familles de nuages, sont données des informations sur le cycle de l’eau, son importance pour la vie, et sur les pratiques polluantes…
VQ
Dans cet imagier bilingue français-yoruba, chaque page cartonnée représente des animaux sauvages au regard très expressif comme si, loin d’être sauvages, ils étaient des présences familières tels des personnages de dessins animés. Les images sont d’une très grande lisibilité pour l’enfant. Le mot est écrit deux fois, une première en yoruba, une seconde, tel qu’il doit être phonétiquement prononcé comme le suggère le pictogramme du haut-parleur.
Zineddine a 9 ans quand son père le conduit un matin dans un lieu où il est accueilli par le bruit assourdissant de grosses machines : une imprimerie. C’est là qu’il se rendra désormais chaque matin pour travailler. À cette époque, il ne sait pas lire car il n’est jamais allé à l’école. Mais rapidement, il va comprendre que ces petits caractères de plomb qu’il est chargé d’aligner forment, en se combinant, des mots, des phrases… « la parole elle-même », comme le lui explique l’un des imprimeurs, celui-là même qui le premier jour a imprimé son nom (simplifié en trois lettres Z I N) et le lui a offert. Rapidement, Zineddine va apprendre à lire. Il comprend maintenant pourquoi les gens peuvent rester penchés de longues heures sur des journaux.
Ce recueil de bande-dessinée est une compilation de trois titres : Petit-Jacques et le cocotier, Petit-Jacques et le tambour magique et Petit-Jacques et la Manman Dlo, publiés séparément chez le même éditeur entre 2010 et 2011.
Un très gourmand maki veut manger un morceau du gâteau au chocolat de la petite Toni. Pour se faire, il demande de l’aide à la souris, à l’oiseau papangue, au serpent…

