Auteur :Patrick DurvilleIllustrateur :Nadia CharlesÉditeur :Editions du Cyclone
Théo part en vacances avec ses parents au large de Madagascar ; belle croisière en perspective ! Mais après une violente tempête le jeune garçon dérive sur un radeau de survie vers une île déserte : il a tout perdu.
Vous êtes conviés à une balade sur les îles, toutes sortes d’îles : car, « Il y a les îles flottantes, les grandes îles, les petites îles, les îles désertes, les îles au trésor »… Suivez le guide, suivez le chapeau, et faites le tour de la notion d’insularité grâce à une définition en creux, par la mer, les frontières, ou encore, le rapport aux autres. Le texte de Joëlle Écormier est poétique et amusant dans sa description ; les illustrations, chaleureuses, de Éloïse Faure, dont c’est le premier album, restent plus anecdotiques…
Tout commençait bien, pour Mebenga Essamba et son ami Bignon Jean Jack : une affaire juteuse de ferme de poulets, et un festin où sont conviés tous les voisins pour arroser ça… Sauf qu’une grippe aviaire est déclarée le soir-même et la consommation de viande de poulet formellement déconseillée.
Quand on cherche quelque chose, on trouve souvent tout autre chose : le Lego du petit frère, la chaussette tombée sous le lit, une lettre, la petite sœur qui joue à cache-cache… Mais notre héroïne ne trouve pas cette chose dont elle a oublié le nom, qui est jaune et rose, de la taille de sa main, ornée de plumes, qui sert à retenir ses cheveux lisses et « qui brille de partout » ! Au fil des pages, le soupçon du lecteur se mue en certitude : notre héroïne est bien en train de chercher la barrette qu’elle a sur la tête !
Les mercredis, Lila adore aller chez sa mamie. Il faut dire que celle-ci cache dans son grenier un secret fabuleux : une machine à voyager dans le temps. Ensemble, elles partent en 1801, à la découverte du passé de leur île, La Réunion.