Marmar est un personnage récurrent des albums de Nabiha Mehaydli. C'est une petite fille espiègle prompte à faire des bêtises. Dans cet album-ci, il est question du bain.
Ces textes s’adressent aux tout-petits et sont construits comme de petites ritournelles, volontairement simplissimes. On notera avec plaisir la présence active du papa dans la vie quotidienne du bébé, même si père et mère sont assez stéréotypés. Le milieu social décrit dans les illustrations semble être celui d’une bourgeoisie qui vit à l’occidentale, ce qui conviendra probablement au lectorat auquel ces livres sont destinés, dans le monde arabe et dans la diaspora.
Ce récit nous conduit à un questionnement sur l’élevage et plus largement sur la condition animale. Des animaux d’une ferme décident de mettre fin à des années d’enfermement et de recouvrer leur liberté en prenant la clé des champs.
Dans Macadam : courir les rues ماكادام. نتسكّع في الشوارع, publié en 2020, Mo Abbas s’intéressait à l’environnement urbain. Dans L’homme sans paysage : battre la campagne رجل بلا مناظر. يوميات تائه في الحقول, il se concentre sur l’environnement rural, le rapport de l’homme moderne à la nature, sa méconnaissance des espèces qui y vivent…
Ce recueil de bande-dessinée est une compilation de trois titres : Petit-Jacques et le cocotier, Petit-Jacques et le tambour magique et Petit-Jacques et la Manman Dlo, publiés séparément chez le même éditeur entre 2010 et 2011.
Un très gourmand maki veut manger un morceau du gâteau au chocolat de la petite Toni. Pour se faire, il demande de l’aide à la souris, à l’oiseau papangue, au serpent…