Auteur :Aboubacar Eros SissokoÉditeur :Les Éditions du Mandé, Tropique Éditions
Le vœu le plus cher de la petite Fatoumata était d’avoir un singe auprès d’elle, mais ses parents refusèrent. Devenue adulte, et mariée, Fatoumata a toujours ce désir...
Kouki, la petite chatte, aime faire sa toilette, mais n’aime pas prendre un bain. Elle aime grimper aux arbres, mais n’aime pas en descendre. Son caractère n’est pas non plus exempt de contradictions : lorsqu’elle est dans l’appartement, elle veut sortir ; lorsqu’elle est dehors, elle veut rentrer...
Nous retrouvons, dans cet album à hauteur de tout petit, le jeune héros (il a un peu grandi !) de Mon frère Nabi en compagnie de son ami le perroquet Tchakou. Une histoire d’amitié toute en sensibilité. « Mon ami Tchakou, je lui parle tous les jours. Il comprend tout. » Tchakou, un confident hors pair, sincère, compréhensif, adulte…
Depuis la mort de sa mère, Oumy, une jeune fille très bien élevée, vit avec sa belle-mère, la seconde épouse de son père, et la fille de celle-ci. Sa belle-mère, qui la maltraite, envoie Oumy chercher de l’eau avec un canari, récipient en terre cuite, dans la forêt. Par accident et par malheur, elle casse le canari. La belle-mère la renvoie dans la forêt en chercher un nouveau sous peine de ne pas pouvoir rentrer.
Des poèmes pour dire l’horreur de la guerre en « une journée ordinaire » à Gaza : les débris jonchant les rues, les objets de la vie quotidienne dispersés, des vies éventrées… Et cette mère qui écrit sur le corps de ses enfants son propre prénom, le nom complet de l’enfant, son groupe sanguin et son adresse, pour que tout le monde sache qui ils sont en cas de blessure ou de mort ; une façon d’être sûre qu’ils ne mourront pas anonymes…
Ce recueil de bande-dessinée est une compilation de trois titres : Petit-Jacques et le cocotier, Petit-Jacques et le tambour magique et Petit-Jacques et la Manman Dlo, publiés séparément chez le même éditeur entre 2010 et 2011.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.