Après L’heure égyptienne et Les yeux Fayoum, Ramona Bãdescu nous entraîne sur un des sites les plus connus et sans doute les plus visités d’Égypte pour le dernier volet de cette trilogie. Sans doute aurait-elle choisi un autre cadre si une pandémie mondiale ne lui avait pas offert l’opportunité d’y déambuler sans être confrontée à des hordes de touristes pressés. Toujours en compagnie de Benoît Guillaume à la partition graphique, très réussie elle aussi, elle arpente les lieux livrés à une quiétude singulière laissant son inspiration poétique être guidée par la puissance évocatrice du soleil, dieu Rê dans la mythologie égyptienne, créateur de l'univers, dans un magnifique dialogue entre passé et présent.
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Un très gourmand maki veut manger un morceau du gâteau au chocolat de la petite Toni. Pour se faire, il demande de l’aide à la souris, à l’oiseau papangue, au serpent…