Ce récit nous conduit à un questionnement sur l’élevage et plus largement sur la condition animale. Des animaux d’une ferme décident de mettre fin à des années d’enfermement et de recouvrer leur liberté en prenant la clé des champs.
Un voyageur, épuisé par un long périple, arrive aux portes du Darbistan « pays de la bonté et de la générosité ». Dès son entrée dans le souk, à chaque fois qu’il pénètre dans un magasin, il est assailli par un commerçant qui veut lui offrir quelque chose : de la nourriture, des boissons, des vêtements, un parapluie... Notre voyageur est gêné, surtout qu’on ne lui donne jamais l’occasion de dire ce qu’il cherche...
Un très gourmand maki veut manger un morceau du gâteau au chocolat de la petite Toni. Pour se faire, il demande de l’aide à la souris, à l’oiseau papangue, au serpent…