Le plastique a tout envahi, rien n’est plus mangeable dans les fonds marins, ni les poissons ni les algues ne sont épargnés. Les sirènes empoisonnées demandent de l’aide aux humains.
La question de l’adolescence, des tensions qui naissent entre les parents et leurs enfants à cet âge particulier, la liberté que veulent connaître les jeunes, voici quelques-unes des questions posées par cette pièce de théâtre.
L’histoire imaginée par Nicolas Cage et publiée en album illustré par Jade Amory, est proposé ici dans la nouvelle collection de théâtre pour la jeunesse des éditions Caraïbéditions.
Dans cet imagier bilingue français-fulfulde, chaque page cartonnée représente des insectes, un ver de terre, une souris et un margouillat. Les images sont d’une très grande lisibilité pour l’enfant. Le mot est écrit deux fois, une première en fulfulde, une seconde, tel qu’il doit être phonétiquement prononcé comme le suggère le pictogramme du haut-parleur.
L’héroïne de ces premières lectures partiellement vocalisées est une petite fille de six ans au caractère jovial et curieux, prénommée Karma Karamilla. Elle a l’air sage et sa vie semble toute tranquille, mais il lui arrive bien des mésaventures !
Ce recueil de bande-dessinée est une compilation de trois titres : Petit-Jacques et le cocotier, Petit-Jacques et le tambour magique et Petit-Jacques et la Manman Dlo, publiés séparément chez le même éditeur entre 2010 et 2011.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.