Cette réalisation familiale (la mère peint, le fils écrit) s’organise en petites séquences illustrées qui mettent en avant un ou plusieurs personnages confrontés à la thématique du secret.
Karim raconte tous ses secrets à son nounours adoré. Il lui confie son amour pour Farah, sa peur de Marouan qui l’embête toujours, il cache même ses trésors dans le ventre de sa peluche.
Tout commençait bien, pour Mebenga Essamba et son ami Bignon Jean Jack : une affaire juteuse de ferme de poulets, et un festin où sont conviés tous les voisins pour arroser ça… Sauf qu’une grippe aviaire est déclarée le soir-même et la consommation de viande de poulet formellement déconseillée.
Des poèmes pour dire l’horreur de la guerre en « une journée ordinaire » à Gaza : les débris jonchant les rues, les objets de la vie quotidienne dispersés, des vies éventrées… Et cette mère qui écrit sur le corps de ses enfants son propre prénom, le nom complet de l’enfant, son groupe sanguin et son adresse, pour que tout le monde sache qui ils sont en cas de blessure ou de mort ; une façon d’être sûre qu’ils ne mourront pas anonymes…
Les mercredis, Lila adore aller chez sa mamie. Il faut dire que celle-ci cache dans son grenier un secret fabuleux : une machine à voyager dans le temps. Ensemble, elles partent en 1801, à la découverte du passé de leur île, La Réunion.