Cette réalisation familiale (la mère peint, le fils écrit) s’organise en petites séquences illustrées qui mettent en avant un ou plusieurs personnages confrontés à la thématique du secret.
Karim raconte tous ses secrets à son nounours adoré. Il lui confie son amour pour Farah, sa peur de Marouan qui l’embête toujours, il cache même ses trésors dans le ventre de sa peluche.
Le village Ndong a la particularité d’avoir deux soleils : un chaud et doux pour la tribu Iban, reconnue pour sa culture de la terre, et un rude qui règne sur la tribu Ibom, reconnue pour sa robustesse et ses chasseurs. Quant à la lune, elle décide à chaque cérémonie où ira vivre chaque enfant dès l’âge de 10 ans.
Des poèmes pour dire l’horreur de la guerre en « une journée ordinaire » à Gaza : les débris jonchant les rues, les objets de la vie quotidienne dispersés, des vies éventrées… Et cette mère qui écrit sur le corps de ses enfants son propre prénom, le nom complet de l’enfant, son groupe sanguin et son adresse, pour que tout le monde sache qui ils sont en cas de blessure ou de mort ; une façon d’être sûre qu’ils ne mourront pas anonymes…
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.