Auteur :Tanella S BoniIllustrateur :Muriel DialloÉditeur :Ruisseaux d’Afrique
Dans cette longue mélopée, un dromadaire évoque sa vie sur un ton tantôt poétique, tantôt prosaïque. Un jour, il rencontre un enfant qui lui raconte son propre univers.
Cet album, le moins réussi de la collection, met en scène une tribu arabe du désert. On la suit dans son déplacement en pleine tempête vers un nouveau campement , à la recherche d'eau. Ghassan, le personnage principal, est peu présent et s'illustre surtout parce qu'il repère des ennemis qui s'approchent du campement, la nuit.
Tout commençait bien, pour Mebenga Essamba et son ami Bignon Jean Jack : une affaire juteuse de ferme de poulets, et un festin où sont conviés tous les voisins pour arroser ça… Sauf qu’une grippe aviaire est déclarée le soir-même et la consommation de viande de poulet formellement déconseillée.
Quand on cherche quelque chose, on trouve souvent tout autre chose : le Lego du petit frère, la chaussette tombée sous le lit, une lettre, la petite sœur qui joue à cache-cache… Mais notre héroïne ne trouve pas cette chose dont elle a oublié le nom, qui est jaune et rose, de la taille de sa main, ornée de plumes, qui sert à retenir ses cheveux lisses et « qui brille de partout » ! Au fil des pages, le soupçon du lecteur se mue en certitude : notre héroïne est bien en train de chercher la barrette qu’elle a sur la tête !
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Le village de l’îlet Bois de couleur est un village paisible, en bordure de la forêt qui lui a donné son nom. C’est un bois magnifique avec des essences d’arbres rares : bois maigre aux minuscules fleurs roses, immenses tans rouges, bois de nèfles aux petites fleurs rosées, tamarins tortueux ou brandes aux troncs noueux.