Monde Arabe
[Arij]
أريج
De retour de l’école, Arij est maussade : la ville est polluée, pleine de fumées et d’odeurs désagréables. D’habitude, sur le chemin de la maison, elle croise « La grand-mère des roses » qui vend à bas prix des fleurs sur une charrette ; elles se parlent un peu au milieu des parfums des fleurs, et cela égaie la journée de la petite fille. Mais voilà, aujourd’hui la grand-mère des roses n’était pas à l’endroit habituel…
HC