Walouba, un chien fort, imposant, à la voix grosse et effrayante, terrifie tous ceux qui le rencontrent, tous sauf un tout petit chat, Djakoumani, son meilleur ami.
Quel destin et quel engagement dans ce récit écrit à la première personne du pluriel par une femme médecin guinéenne ! Dès les premières lignes, on comprend que la lutte contre l’excision est le combat d’une vie pour supporter un traumatisme de l’enfance présenté comme un traumatisme collectif. Le jour dont il est question a lieu le 7 août 1972 et a été préparé minutieusement par tous les membres féminins d’une famille pendant que les enfants étaient en vacances au village et sans que les parents directs soient vraiment au courant. L’opération a eu lieu en prenant par surprise ces toutes jeunes filles.
Quand on cherche quelque chose, on trouve souvent tout autre chose : le Lego du petit frère, la chaussette tombée sous le lit, une lettre, la petite sœur qui joue à cache-cache… Mais notre héroïne ne trouve pas cette chose dont elle a oublié le nom, qui est jaune et rose, de la taille de sa main, ornée de plumes, qui sert à retenir ses cheveux lisses et « qui brille de partout » ! Au fil des pages, le soupçon du lecteur se mue en certitude : notre héroïne est bien en train de chercher la barrette qu’elle a sur la tête !
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Les mercredis, Lila adore aller chez sa mamie. Il faut dire que celle-ci cache dans son grenier un secret fabuleux : une machine à voyager dans le temps. Ensemble, elles partent en 1801, à la découverte du passé de leur île, La Réunion.