Auteur :Antoine BarralIllustrateur :photogr. Catherine et Bernard DesjeuxÉditeur :Grandvaux
C’est à Houmarou le griot aveugle qu’il revient de conter la légende de Timbouktou, la cité mythique objet de toutes les convoitises, Troyes en d’autres lieux…
Si Soundjata Keïta, fondateur de l’empire du Mali au XIIIe siècle, est présent depuis longtemps dans la littérature de jeunesse (Soundiata l’enfant lion chez Casterman, L’Épopée de Soundjata chez Donniya…), Kankou Moussa, qui régnait sur cet empire à son apogée au XIVe siècle, y fait sa première apparition. Ce très grand album raconte son règne et surtout le voyage à La Mecque qu’il entreprit après s’être converti à l’Islam et dont les récits arabes, comme ceux d’Ibn Battûta, conservent la mémoire.
Fatou aime son prénom et ne comprend pas pourquoi sa maman l’affuble de tant de sobriquets. Fatou n’est ni une fleur, ni une poupée, ni une gazelle. Elle est FATOU, F comme Fonio, A comme Aloès, T comme Tamarin, O comme Orang-outan, U comme Uniforme.
Depuis qu’il est tout petit, Ayman aime danser, il voudrait voler comme les papillons auxquels il s’identifie et qui l’accompagnent partout. Il danse avec eux, le soir, derrière les portes closes de sa chambre. Ses mouvements libres et spontanés, ce sont eux qui les lui ont appris. En public, il danse la « dabkeh », danse traditionnelle, mais n’ose pas se laisser aller à des interprétations plus libres. Il craint la réaction de son entourage et de son père en particulier, qui pourtant le soutiendra plus tard dans ses choix.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.