Un enfant, depuis sa chambre, entend ses parents discuter et ils ne sont pas d’accord. Sa mère voudrait qu’il aille à l’école mais son père pense qu’il sera plus utile à sa famille en restant au village.
Dans cet imagier bilingue français-yoruba, chaque page cartonnée représente des animaux sauvages au regard très expressif comme si, loin d’être sauvages, ils étaient des présences familières tels des personnages de dessins animés. Les images sont d’une très grande lisibilité pour l’enfant. Le mot est écrit deux fois, une première en yoruba, une seconde, tel qu’il doit être phonétiquement prononcé comme le suggère le pictogramme du haut-parleur.
« La maison de la sagesse » désignait la grande bibliothèque de Bagdad, créée par le calife abbasside Haroun al-Rachid (765-809), riche en manuscrits et ouvrages du monde entier. Ce centre du savoir était ouvert aux étudiants, chercheurs, érudits et traducteurs, astronomes et médecins, qui pouvaient y trouver l’essentiel des connaissances de l’humanité. On dit que le calife al-Ma’moun, fils de Haroun al-Rachid, récompensait les savants et traducteurs en leur donnant l’équivalent en or du poids de leurs ouvrages en langue arabe…
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Un très gourmand maki veut manger un morceau du gâteau au chocolat de la petite Toni. Pour se faire, il demande de l’aide à la souris, à l’oiseau papangue, au serpent…