Auteur :Fabienne JoncaÉditeur :Atelier des Nomades
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.
Dans cet imagier bilingue français-yoruba, chaque page cartonnée représente la famille du poulailler, la pintade et le canard, le hérisson et le lapin, sans oublier le mouton, la vache et le cheval. Seul le cochon manque à l’appel. Les images sont d’une très grande lisibilité pour l’enfant. Le mot est écrit deux fois, une première en yoruba, une seconde, tel qu’il doit être phonétiquement prononcé comme le suggère le pictogramme du haut-parleur.
Dans le petit village où vit Sa’ada (prénom qui signifie bonheur), un énorme oiseau noir vient un jour s’installer. Par un sortilège maléfique, il parvient à voler les magnifiques broderies qui ornent les robes des paysannes et à les faire disparaître. Et avec elles, à faire disparaître aussi de la mémoire des habitants du village les chansons et les musiques qui rythment leurs danses.
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Le village de l’îlet Bois de couleur est un village paisible, en bordure de la forêt qui lui a donné son nom. C’est un bois magnifique avec des essences d’arbres rares : bois maigre aux minuscules fleurs roses, immenses tans rouges, bois de nèfles aux petites fleurs rosées, tamarins tortueux ou brandes aux troncs noueux.