Monde Arabe
Ma mère a refusé que quiconque écrive sur nos corps
et autres lettres de Palestine
رفضت أمي أن يكتب على جسدنا أحدأ
وأخبار أخرى من فلسطين
Des poèmes pour dire l’horreur de la guerre en « une journée ordinaire » à Gaza : les débris jonchant les rues, les objets de la vie quotidienne dispersés, des vies éventrées… Et cette mère qui écrit sur le corps de ses enfants son propre prénom, le nom complet de l’enfant, son groupe sanguin et son adresse, pour que tout le monde sache qui ils sont en cas de blessure ou de mort ; une façon d’être sûre qu’ils ne mourront pas anonymes…
HC