La ville de Casablanca est émaillée de petits sanctuaires ou de lieux dont les noms font référence à une légende ou à un fait historique. Cinq de ces histoires nous sont racontées ici.
Dans cet imagier bilingue français-fon, chaque page cartonnée représente des insectes, un ver de terre, une souris et un margouillat. Les images sont d’une très grande lisibilité pour l’enfant. Le mot est écrit deux fois, une première fois en fon qui utilise l’alphabet latin dans lequel sont intégrés des signes de l’alphabet phonétique, une seconde, tel qu’il doit être phonétiquement prononcé comme le suggère le pictogramme du haut-parleur.
C’est le ramadan. La ville est toute décorée de ces belles petites lanternes qui marquent ce mois très spécial. Cette année, Adnan a décidé de jeûner toute la journée. Son ventre gargouille, mais il se réjouit à l’avance du plat de mouloukhiyeh (corète potagère) dont il se régalera pour la rupture du jeûne. Lorsqu’il entre dans la cuisine, patatras ! C’est l’odeur du bamia (ou gombo) qui l’accueille… et il déteste ça !
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Le village de l’îlet Bois de couleur est un village paisible, en bordure de la forêt qui lui a donné son nom. C’est un bois magnifique avec des essences d’arbres rares : bois maigre aux minuscules fleurs roses, immenses tans rouges, bois de nèfles aux petites fleurs rosées, tamarins tortueux ou brandes aux troncs noueux.