Ce texte, sorte de conte initiatique dans sa forme, narre l’histoire d’un Petit Poucet Martiniquais : Zinga à l’oreille rouge. Pauvres et désespérés à la suite du passage d’un cyclone, les parents de Zinga le conduisent auprès de ce qu’ils croient être un riche marchand et qui se révèle finalement un ogre redoutable : l’Agoulou.
Dans cet imagier bilingue français-fulfulde, chaque page cartonnée représente des animaux sauvages au regard très expressif comme si, loin d’être sauvages, ils étaient des présences familières tels des personnages de dessins animés. Toutes les images sont d’une très grande lisibilité pour l’enfant. Le mot est écrit deux fois, une première en fulfulde, une seconde, tel qu’il doit être phonétiquement prononcé comme le suggère le pictogramme du haut-parleur.
La journée commence mal pour Mademoiselle Ilham, la maîtresse d’école. Tout se ligue contre elle : elle a du mal à se lever du lit, n’arrive pas à trouver les bons vêtements à porter, se rappelle à la dernière minute qu’elle doit rendre les copies d’examen corrigées à ses élèves, les met dans son sac… et voilà que la tirette de la fermeture éclair se casse ! Décidément, tout va mal ! Mais Mademoiselle Ilham est d’un naturel positif : perchée sur sa mobylette, elle se dirige vers l’école en ce jour venteux d’automne, sans réaliser que les feuilles d’examen sont en train de s’envoler de son sac grand ouvert…
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Les mercredis, Lila adore aller chez sa mamie. Il faut dire que celle-ci cache dans son grenier un secret fabuleux : une machine à voyager dans le temps. Ensemble, elles partent en 1801, à la découverte du passé de leur île, La Réunion.