Ce texte, sorte de conte initiatique dans sa forme, narre l’histoire d’un Petit Poucet Martiniquais : Zinga à l’oreille rouge. Pauvres et désespérés à la suite du passage d’un cyclone, les parents de Zinga le conduisent auprès de ce qu’ils croient être un riche marchand et qui se révèle finalement un ogre redoutable : l’Agoulou.
Une histoire mondialisée du thé dont la narration mêle plusieurs temporalités à travers trois récits : « Aussi fort que la vie » met en scène l’expansion du thé en Afrique, à partir de 1684, depuis le Maroc, par l’intermédiaire de l’ambassadeur du roi d’Angleterre qui l’offrit au sultan marocain sur le point d’être renversé. « Aussi amer que l’amour » nous propulse en Sierra Léone en 1983 sur fond d’histoire d’amour et de corruption d’État tout en évoquant la compagnie des Indes du xviiie siècle et la rivalité franco-anglaise. « Aussi suave que la mort » commence dans les ruelles de Pékin aujourd’hui pour susciter la rencontre entre une touriste africaine et une mère chinoise autour d’une tasse de thé. Pour ce dernier chapitre, le thé et son histoire sont l’occasion d’une ode à la vie.
Voici l’histoire d’un écolier de neuf ans, Ahmet, qui vient de Syrie. Dans son long et dur périple vers l’Angleterre, il est d’abord accompagné de ses parents, puis il les perd en cours de route. À l’école, en Angleterre, il n’a pas d’amis, ne parle pas, ne joue pas avec ses camarades de classe. Son comportement intrigue Alexa, la narratrice, et ses trois amis Josie, Michael et Tom. Ils se rapprochent d’Ahmet petit à petit et se lient d’amitié avec lui, malgré les difficultés linguistiques et culturelles qu’Ahmed rencontre. Ils se décident, par amitié, à chercher et à retrouver les parents de leur ami, en allant jusqu’à solliciter l’aide de la reine !
Un album pour apprendre à lire : une belle idée de Caraïbéditions proposée par Delphine-Laure Thiriet que l’on apprécie déjà pour ses romans policiers pour plus grands. Deux petits héros, Maya et Léo, nous entraînent sur la plage de Sainte-Anne. Un concept original car le texte de l’histoire est entrecoupé de petits dessins représentant des mots.
Dans ce dernier tome qui clôture la trilogie, nous découvrons enfin les origines de la petite Ary et la raison pour laquelle elle a été séparée de ses parents.