Après Maman, voici, dans une édition cartonnée de grande qualité, Je t’aime Papa. Cet album est une ode au père à travers le regard de sa fille, et ce regard est un hommage à tous les pères.
Ayanda est une petite fille heureuse, jusqu’au jour où son père, qui a été enrôlé comme soldat, disparaît. En révolte contre le monde cruel des adultes, elle décide de rester petite.
Le village Ndong a la particularité d’avoir deux soleils : un chaud et doux pour la tribu Iban, reconnue pour sa culture de la terre, et un rude qui règne sur la tribu Ibom, reconnue pour sa robustesse et ses chasseurs. Quant à la lune, elle décide à chaque cérémonie où ira vivre chaque enfant dès l’âge de 10 ans.
Qu'il est astucieux cet abécédaire ! Il associe chaque lettre arabe à deux mots – par exemple فيل (fîl, éléphant) et فنجان (finjân, tasse) pour la lettre F – puis ces deux mots à un dessin en couleur plein d'humour, puis à une série de dessins et de mots où la lettre a une forme différente selon sa place dans le mot. Paru en 1985 au Caire, cet album de Mohieddine Ellabbad est réédité en version bilingue par Le port a jauni, qui adjoint à chaque mot arabe translittération et traduction. Ainsi, l'enfant apprend les lettres, leur prononciation – synthétisée dans un tableau – et acquiert du vocabulaire en s'amusant. Une pépite qui rend hommage à un auteur-illustrateur majeur de la littérature pour la jeunesse du Monde arabe.
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.