L'Afrique n'est pas à proprement parler au centre du livre, mais la seconde partie se déroule à Madagascar, et on y découvre ses paysages, ses habitants, sa faune et ses taxis-brousse.
Ce récit nous conduit à un questionnement sur l’élevage et plus largement sur la condition animale. Des animaux d’une ferme décident de mettre fin à des années d’enfermement et de recouvrer leur liberté en prenant la clé des champs.
Depuis qu’il est tout petit, Ayman aime danser, il voudrait voler comme les papillons auxquels il s’identifie et qui l’accompagnent partout. Il danse avec eux, le soir, derrière les portes closes de sa chambre. Ses mouvements libres et spontanés, ce sont eux qui les lui ont appris. En public, il danse la « dabkeh », danse traditionnelle, mais n’ose pas se laisser aller à des interprétations plus libres. Il craint la réaction de son entourage et de son père en particulier, qui pourtant le soutiendra plus tard dans ses choix.
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.