Loufi l’éléphant adore raconter des histoires, mais personne ne l’écoute, et pour cause ! Ses histoires sont ennuyeuses et racontées dans un débit aussi rapide que la fuite de ses interlocuteurs.
Entre bande dessinée et contes, cet album est riche en anecdotes rurales. On suit dans ce second tome les pitreries du vieillard : Tita Abessolo dans son village d’Allarmintang au fin fond l’Afrique centrale. Il est épris de Na’ Bala qui veut être dotée malgré de ses parents. Notre héros se console alors avec ses chiques (sorte de tiques) qui chatouillent ses orteils lors des nuits blanches.
La journée commence mal pour Mademoiselle Ilham, la maîtresse d’école. Tout se ligue contre elle : elle a du mal à se lever du lit, n’arrive pas à trouver les bons vêtements à porter, se rappelle à la dernière minute qu’elle doit rendre les copies d’examen corrigées à ses élèves, les met dans son sac… et voilà que la tirette de la fermeture éclair se casse ! Décidément, tout va mal ! Mais Mademoiselle Ilham est d’un naturel positif : perchée sur sa mobylette, elle se dirige vers l’école en ce jour venteux d’automne, sans réaliser que les feuilles d’examen sont en train de s’envoler de son sac grand ouvert…
Ce recueil de bande-dessinée est une compilation de trois titres : Petit-Jacques et le cocotier, Petit-Jacques et le tambour magique et Petit-Jacques et la Manman Dlo, publiés séparément chez le même éditeur entre 2010 et 2011.
Les mercredis, Lila adore aller chez sa mamie. Il faut dire que celle-ci cache dans son grenier un secret fabuleux : une machine à voyager dans le temps. Ensemble, elles partent en 1801, à la découverte du passé de leur île, La Réunion.