Afrique
Vignon et les voleurs du quartier
Vignon est un garçon vif et turbulent, qui a le don d’agacer ses professeurs, sa famille et les gens de son quartier par ses facéties.
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Vignon est un garçon vif et turbulent, qui a le don d’agacer ses professeurs, sa famille et les gens de son quartier par ses facéties.
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Rudia est une jeune fille vive et calme aux dons multiples. Elle a des visions prémonitoires permettant d’éviter à quelqu’un un accident. Elle est également un génie en informatique. Quand l’ordinateur de Fofo Peter est bloqué, elle réussit à le remettre en marche grâce à une clé USB.
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Une bande dessinée dans laquelle le jeune Moussa voit son repas englouti par la poule de la maison.
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Trois garçons, Agossou, Bernardin et Razacki, s’en prennent violemment à une fille et son petit frère à la sortie d’école pour la punir d’être meilleure qu’eux, en l’accusant d’être prétentieuse et hautaine. Un esprit, Kouvito, surgit alors et fait fuir les trois garçons dont l’un finit par avoir un accident. Les bruits de l’apparition de Kouvito circulent alors dans le village.
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La grand-mère de Coovi est malade, et le petit garçon est triste en pensant qu’elle va mourir. Dans les rues de Cotonou, à la maison familiale, sur le chemin de l’école ou de l’hôpital, il pose des questions sur la mort aux gens qu’il rencontre.
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« Ouagadougou pressé » est le nom donné à un fou du village, au Burkina Faso, qui se prend pour l'autobus qui fait la liaison entre Fada N’Gourma et Ouagadougou. Il pourrait être l’allégorie de cet album bâti comme une folle traversée entre l’Afrique et le quartier de Château Rouge, à Paris, où deux cultures, deux espaces-temps, ne cessent de se télescoper dans la vie quotidienne d’une jeune fille burkinabé installée en France.
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Une histoire mondialisée du thé dont la narration mêle plusieurs temporalités à travers trois récits : « Aussi fort que la vie » met en scène l’expansion du thé en Afrique, à partir de 1684, depuis le Maroc, par l’intermédiaire de l’ambassadeur du roi d’Angleterre qui l’offrit au sultan marocain sur le point d’être renversé. « Aussi amer que l’amour » nous propulse en Sierra Léone en 1983 sur fond d’histoire d’amour et de corruption d’État tout en évoquant la compagnie des Indes du xviiie siècle et la rivalité franco-anglaise. « Aussi suave que la mort » commence dans les ruelles de Pékin aujourd’hui pour susciter la rencontre entre une touriste africaine et une mère chinoise autour d’une tasse de thé. Pour ce dernier chapitre, le thé et son histoire sont l’occasion d’une ode à la vie.
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Cette BD traite de l’enrôlement d’Africains dans les armées des puissances coloniales lors de la Première Guerre mondiale. Suite au partage de l’Afrique lors de la Conférence de Berlin de 1885, certaines ethnies se trouvent séparées, comme c’est le cas pour les Ewés ou pour les Kabyés. Ces derniers sont divisés entre le Togoland, devenu une colonie allemande, et le Dahomey, sous autorité française. Les deux cousins kabyés, Bakary et Babacar, habitent chacun d’un côté de la rivière séparant le Dahomey et le Togoland. Les deux décident de s’engager dans l’armée des colonisateurs, l’armée française pour l’un et l’armée allemande pour l’autre, afin d’épargner à leur village d’être brûlé par les colonisateurs en guise de représailles si aucun homme ne rejoint l’armée. De ce fait, les deux cousins doivent combattre dans deux armées ennemies à cause d’un conflit opposant en Europe la France et l’Allemagne.
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Dinanga est aux anges : il a terminé son graduat avec succès et est accueilli chez lui en héros. Mais la joie est de courte durée. Lui qui voulait continuer en licence apprend que ses parents n’ont pas les moyens de continuer à financer ses études et qu’il doit rapidement trouver du travail. Mais trouver un travail se révèle être une tâche difficile pour le jeune diplômé : les postes sont rares et les patrons demandent plusieurs années d’expérience.
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Les quatre écoliers Ado, Bouboule, Nancy et Fanfan ont plus d’un tour dans leur sac. Qu’il s’agisse d’échapper au cours de gym ou de s’assurer une bonne note aux interrogations sans réviser, ils ne sont jamais à court d’idées.
Un très joli album à colorier qui est aussi un conte-randonnée traditionnel à propos d’une plante à arracher
Après Le Carnet du dessinateur, Petite Histoire de la calligraphie arabe et Dictionnaire des monstres, les éditions Le port a jauni poursuivent leur hommage au travail de Mohieddine Ellabbad, auteur-illustrateur, « penseur majeur du monde arabe » et chef de file des pionniers qui ont révolutionné la conception de l’édition jeunesse dans le monde arabe dans les années 1970-1980. Pionnier au point que ses ouvrages restent parfaitement d’actualité aujourd’hui et se dégustent avec toujours autant de plaisir et d’intérêt !
Un album pour apprendre à lire : une belle idée de Caraïbéditions proposée par Delphine-Laure Thiriet que l’on apprécie déjà pour ses romans policiers pour plus grands. Deux petits héros, Maya et Léo, nous entraînent sur la plage de Sainte-Anne. Un concept original car le texte de l’histoire est entrecoupé de petits dessins représentant des mots.
Sur la côte ouest de Madagascar, certaines femmes ont la réputation d’être des ondines, on les appelle : les filles-des-eaux.