Afrique
Ayanda la petite fille qui ne voulait pas grandir
Ayanda est une petite fille heureuse, jusqu’au jour où son père, qui a été enrôlé comme soldat, disparaît. En révolte contre le monde cruel des adultes, elle décide de rester petite.
VQ
Afrique
Ayanda est une petite fille heureuse, jusqu’au jour où son père, qui a été enrôlé comme soldat, disparaît. En révolte contre le monde cruel des adultes, elle décide de rester petite.
VQ
Afrique
On retrouve, dans ce deuxième album de la série, la petite Mariétou et tout l’univers de son quartier à Douala, au Cameroun. Le récit de cet album tient à un événement exceptionnel : la classe de Mariétou va passer une journée à la mer. Mais pour apprendre à nager, il faut absolument un maillot de bain de championne.
ALC
Monde Arabe
La première partie montre comment une de ses camarades, d’abord fascinée par l’aspect de cette petite fille pas comme les autres (dont le handicap est symbolisé par une jambe en forme de clé), parvient à nouer avec elle une relation d’amitié « ordinaire ».
La seconde partie du livre évoque d’une façon assez tortueuse les efforts que fait la petite fille pour être en phase avec ses camarades.
IP
Monde Arabe
Malgré le texte très lancinant et à prétentions poétiques, malgré un propos écologiste martelé, ce grand livre broché est intéressant. L'illustration en est particulièrement réussie.
Les héros de ce court récit – les gardiens de Mogador (ou Essaouira, ville marocaine) – sont des goélands, et tous les paysages dépeints sont vus en plongée.
IP
Monde Arabe
Après Scènes de la vie égyptienne مناظر مصرية et Portes égyptiennes أبواب مصرية, voici un nouveau titre de cette série de livres de coloriage très grand format, conçus et illustrés par le grand artiste Helmi Al-Touni qui souhaite ainsi redonner vie – pour quelques instants – à des objets de la vie quotidienne d’autrefois, avant qu’ils ne disparaissent définitivement de la mémoire des petits et des grands.
MW
Monde Arabe
Une vieille dame s’occupe de son petit-fils, Farès, en l’absence du père, parti travailler. Le rêve de toute la famille est d’envoyer Farès à l’école, mais celle-ci est située en ville, loin du village de montagne qu’ils habitent. Un jour, par hasard, ils sont hébergés dans un village situé à mi-chemin entre leur maison et la ville.
HC
Monde Arabe
La présentation est chronologique et couvre les périodes allant de la préhistoire jusqu’aux années 1960 environ (le livre se clôt sur une reproduction d’une œuvre d’Andy Warhol).
AGD
Monde Arabe
Tchou vit en Chine dans une famille d'agriculteurs. Si la journée est occupée par les travaux des champs, le soir, chacun écoute les récits de la grand-mère de Tchou dont la fascinante histoire du dragon. Un jour où Tchou se promène à coté de la rivière, le dragon lui apparaît. Ils deviennent amis.
AGD
Monde Arabe
Cet album, le moins réussi de la collection, met en scène une tribu arabe du désert. On la suit dans son déplacement en pleine tempête vers un nouveau campement , à la recherche d'eau. Ghassan, le personnage principal, est peu présent et s'illustre surtout parce qu'il repère des ennemis qui s'approchent du campement, la nuit.
HC
Monde Arabe
À l'époque de l'Égypte ancienne, Amon vit dans une famille d'agriculteurs et seconde son père dans les travaux des champs. Un jour, le Nil inonde leur champ. Le travail agricole s’arrête. La famille se met alors au service du souverain local. Comme le travail est très dur, le père d'Amon décide de partir et de gagner sa vie ailleurs. Amon attend le retour de son père avec impatience, il lui écrit même une lettre.
AGD
Entre bande dessinée et contes, cet album est riche en anecdotes rurales. On suit dans ce second tome les pitreries du vieillard : Tita Abessolo dans son village d’Allarmintang au fin fond l’Afrique centrale. Il est épris de Na’ Bala qui veut être dotée malgré de ses parents. Notre héros se console alors avec ses chiques (sorte de tiques) qui chatouillent ses orteils lors des nuits blanches.
Depuis qu’il est tout petit, Ayman aime danser, il voudrait voler comme les papillons auxquels il s’identifie et qui l’accompagnent partout. Il danse avec eux, le soir, derrière les portes closes de sa chambre. Ses mouvements libres et spontanés, ce sont eux qui les lui ont appris. En public, il danse la « dabkeh », danse traditionnelle, mais n’ose pas se laisser aller à des interprétations plus libres. Il craint la réaction de son entourage et de son père en particulier, qui pourtant le soutiendra plus tard dans ses choix.
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Ce superbe leporello, orné d’illustrations en papier découpé sur fond blanc, nous narre, en Kréol au verso et en français au recto, avec beaucoup de tendresse et de délicatesse l’attente de la future rencontre entre une maman et son bébé. Ce livre de naissance très abouti propose un tour sensoriel et poétique de l’île de la Réunion. Un régal pour les yeux et les oreilles !