- « Sirkali : mot magique, mot tordu, mot fourre-tout, mot impersonnel » par Ambass Ridjali
- "La première fois que j’ai entendu ce mot, "brainstorming" ou عصف ذهني, j’étais encore une jeune écolière..." par Fatima Sharafeddine
- "Tous les mots sont importants et sans l’existence des mots nous n’aurions pas pu nous exprimer..." par Nada Abboudi
- "Connaissez-vous la « lectumagie » ?" par Mam Samba Ba
- "Mon mot préféré, c’est le mot « Köni »..." par Olive Njuekou
- "Quel est mon mot préféré ? « Étranger », issu du roman L’Étranger d’Albert Camus..." par Edem Adjeoda
- "Écrivain, tel est mon mot préféré..." par Galley Kokouvi Dzifa
- « Pleurer » est mon mot préféré. Cela peut sembler drôle... par Léa Some
Des mots préférés
Coups de cœur
Afrique
![](/sites/default/files/styles/r100/public/database/thumbnail/2024-05/le-pot-de-miel-3.jpg?itok=qIzCAJsn)
Le pot de miel
Le grand frère de la narratrice est l’objet de la colère quasi muette de sa mère. Des sourcils froncés sur la page de gauche, une unique réprobation sans explication sur la page de droite : « Valéry ! » Mais qu’a donc bien pu faire ce grand frère pour provoquer l’ire maternelle ? Le suspens dure au cours de double-pages où la petite sœur s’interroge en repensant à la journée qui vient de s’écouler sereinement entre lac, montagne et arbres fruitiers. Pendant ce temps-là, nous tournons les pages et notre regard est attiré par un tout petit pot de miel présent sur chaque numéro de page comme un rappel du titre et une annonce du dénouement. En attendant, l’angoisse de la petite sœur s’étire devant une colère qui ne la touche pas directement mais l’atteint fortement. La chute a une portée universelle car elle parle d’injustice involontaire du parent au sein d’une fratrie. A la lecture de l’album, on est frappé par la beauté des illustrations et tout particulièrement des arbres fruitiers et de leurs fruits : les pruniers mombins, les anarcadiers et les manguiers. Les illustrations de ce livre ont reçu en 2019 le premier prix du Prix Hervé Gigot pour l’illustration du Livre jeunesse en Afrique.
Monde Arabe
![](/sites/default/files/styles/r100/public/database/thumbnail/2024-07/adnan-wa-tabaq-ramadan.jpg?itok=5sXMTaSn)
[Adnan et le plat de Ramadan]
عدنان وطبق رمضان
C’est le ramadan. La ville est toute décorée de ces belles petites lanternes qui marquent ce mois très spécial. Cette année, Adnan a décidé de jeûner toute la journée. Son ventre gargouille, mais il se réjouit à l’avance du plat de mouloukhiyeh (corète potagère) dont il se régalera pour la rupture du jeûne. Lorsqu’il entre dans la cuisine, patatras ! C’est l’odeur du bamia (ou gombo) qui l’accueille… et il déteste ça !
Caraïbe
![](/sites/default/files/styles/r100/public/database/thumbnail/2024-07/haikus-0.jpg?itok=_FSvAzum)
Haïkus des Antilles
Haïkus des Antilles ou comment relier la Guadeloupe de l’écrivain Didier Destouches au Japon, pays d’origine des haïkus.
Océan Indien
![](/sites/default/files/styles/r100/public/database/thumbnail/2024-07/ecormier.jpg?itok=UXt4nwxv)
Théodore, le passager du rêve
Le roman de Joëlle Ecormier, Théodore, le passager du rêve, a été publié en 2013 aux éditions Océan. Ce texte a été adapté au théâtre par la compagnie le Théâtre des Albert.