Océan Indien
Frénésies
road-théâtre initiatique
Thomas et Bilal vivent sur l'île de la Réunion et l'un et l'autre rêvent d'un ailleurs insaisissable. Thomas, le narrateur, est un admirateur de l’œuvre de Jack Kerouac.
CB
Océan Indien
Thomas et Bilal vivent sur l'île de la Réunion et l'un et l'autre rêvent d'un ailleurs insaisissable. Thomas, le narrateur, est un admirateur de l’œuvre de Jack Kerouac.
CB
Monde Arabe
Un voyageur, épuisé par un long périple, arrive aux portes du Darbistan « pays de la bonté et de la générosité ». Dès son entrée dans le souk, à chaque fois qu’il pénètre dans un magasin, il est assailli par un commerçant qui veut lui offrir quelque chose : de la nourriture, des boissons, des vêtements, un parapluie... Notre voyageur est gêné, surtout qu’on ne lui donne jamais l’occasion de dire ce qu’il cherche...
HC
Monde Arabe
« Kaslan » signifie paresseux en arabe. Et, de fait, Kaslan est un petit ours paresseux qui a la particularité d’adorer voyager. Il peut vous parler de la plupart des pays du monde, de leurs monuments et de leurs caractéristiques. Sa maison est pleine de souvenirs : tour Eiffel, défenses d’éléphant et autres objets exotiques. Mais l’on s’aperçoit qu’en réalité, Kaslan n’a jamais quitté sa maison : ce sont ses amis qui, connaissant son goût pour les pays lointains, lui envoient des photos de leurs expéditions et lui rapportent des souvenirs.
MW
Océan Indien
Un album collectif pour nous faire voyager c’est le titre que propose La P’tite scène qui bouge aux éditions Coccinelle.
CB
Monde Arabe
Spationaute en herbe, un enfant décide d’aller explorer l’espace pour découvrir de nouvelles planètes. Muni de lampes et d’un minuteur, il embarque sur son lit avec son chat et entame son voyage dans l’espace. Il réussit à atterrir sur une planète en apesanteur. Quelle n’est pas sa déception quand, en voulant planter son drapeau, il s’aperçoit qu’il n’est pas le premier à découvrir la planète…
SA
Océan Indien
Récit autobiographique sous forme de carnet de voyages de Dwa, ce célèbre dessinateur de bandes dessinées malgache.
CB
Monde Arabe
Balad, ou « pays » en arabe, se base sur une série de dessins réalisés par l’illustrateur égyptien Walid Taher lors de son long voyage autour de la Méditerranée. La maison d’édition marseillaise Le Port a jauni a bien compris l’intérêt artistique de ces dessins et les a regroupés dans cet album jeunesse : « ce sont des instants croqués dans les rues de ces villes où l’illustrateur a déambulé ».
NS
Monde Arabe
Nestor le lapin se prépare à rendre visite à son cousin Eugène. Un grand événement pour notre héros qui ne s’est jamais vraiment éloigné de chez lui ! Alors évidemment, il n’a pas de valise. Pas de souci : Nestor décide d’en emprunter une. Commence alors un long périple, d’un détenteur potentiel de valise à un autre : on renvoie toujours notre lapin vers « quelqu’un qui connaîtrait quelqu’un qui aurait une valise »... Les rencontres s’enchaînent, mais toujours pas de valise… Jusqu’à l’arrivée au domicile d’un lapin, grand voyageur, qui a plein de valises… Et qui s’avère être le fameux cousin Eugène !
HC
Afrique
Il ne s’agit pas ici d’un conte de Moni-Mambu, « l’homme qui a tout vu », le héros aventureux et rusé des contes kongo, ni du personnage des romans de Guy Menga. Le mot « conte » dans le titre veut dire, comme souvent en Afrique, fiction pour jeunes et ce Moni-Mambu, c’est un garçon de vingt ans qui a été « kadogo » (enfant soldat) lors de la guerre qui a porté au pouvoir Laurent-Désiré Kabila en 1997. Une fois finie cette guerre qui l’a amené à Kinshasa, il se décide à retourner dans son village du Kivu, à l’est de la République démocratique du Congo. Ce roman fait le récit des aventures et des rencontres de ce long voyage de retour – une sorte d’odyssée donc, avec même des mamy wata/sirènes…
MD et VQ
Afrique
La première partie de Paris-Paradis mettait en scène Moussa et son rêve de partir en France pour devenir riche, malgré les mises en garde pleines de sagesse de sa mère et du griot. Dans ce nouveau volume, Moussa est en route, à pied d’abord, sur un chemin semé d’embûches et de rencontres, belles ou moins belles, puis en pirogue pour la grande traversée si dangereuse.
NB
Le grand frère de la narratrice est l’objet de la colère quasi muette de sa mère. Des sourcils froncés sur la page de gauche, une unique réprobation sans explication sur la page de droite : « Valéry ! » Mais qu’a donc bien pu faire ce grand frère pour provoquer l’ire maternelle ? Le suspens dure au cours de double-pages où la petite sœur s’interroge en repensant à la journée qui vient de s’écouler sereinement entre lac, montagne et arbres fruitiers. Pendant ce temps-là, nous tournons les pages et notre regard est attiré par un tout petit pot de miel présent sur chaque numéro de page comme un rappel du titre et une annonce du dénouement.
Des poèmes pour dire l’horreur de la guerre en « une journée ordinaire » à Gaza : les débris jonchant les rues, les objets de la vie quotidienne dispersés, des vies éventrées… Et cette mère qui écrit sur le corps de ses enfants son propre prénom, le nom complet de l’enfant, son groupe sanguin et son adresse, pour que tout le monde sache qui ils sont en cas de blessure ou de mort ; une façon d’être sûre qu’ils ne mourront pas anonymes…
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Un très gourmand maki veut manger un morceau du gâteau au chocolat de la petite Toni. Pour se faire, il demande de l’aide à la souris, à l’oiseau papangue, au serpent…