Caraïbe
Moi aussi je danse le quadrille
Entrez dans la danse avec ce joli album dont l’héroïne, Anita, est une petite fille qui vit en Guadeloupe.
AB
Caraïbe
Entrez dans la danse avec ce joli album dont l’héroïne, Anita, est une petite fille qui vit en Guadeloupe.
AB
Caraïbe
Après l’Abécédaire animalier des Antilles, saluons la sortie de nouveaux titres dans cette collection dont celui-ci consacré à Noël. Chaque aspect de la célébration de Noël est mis en valeur par une phrase à la typographie recherchée et faisant la part belle aux rimes, le tout accompagné d’illustrations très colorées
JP
Caraïbe
Grande nouvelle ! La maman de Ti Racoun lui annonce que demain, toute la famille ira à un « Chanté Nwel » chez sa tatie. Les cantiques de Noël, la musique, les danses, le buffet de Noël vont faire la joie du petit garçon
JP
Caraïbe
Benjamin Moïse, dit Benzo, nous plonge, avec ses expressions créoles, dans un voyage antillais. Ce livre est un inventaire de proverbes et de vocabulaire concernant différents champs lexicaux ou différents thèmes
LA
Caraïbe
Un livre de coloriage pour reconnaître les crustacés et apprendre leurs noms en français, anglais, créole de la Martinique et créole de la Guadeloupe.
NB
Caraïbe
L’auteur, Térèz Léoten, se place dans la lignée des grands fabulistes, Ésope, Pilpay, Bonaventure des Périer et avec eux, elle invite Monsieur de La Fontaine à « une balade à travers nos mots créoles ». Ainsi, elle transpose dans le contexte antillais quatorze fables.
NB
Astérix est parmi les livres les plus traduits au monde. Les aventures du héros du petit village gaulois sont accessibles dans cent sept langues, dont vingt langues des régions de France… Mais d’autres titres de la bande dessinée franco-belge connaissent d’impressionnants succès dans le monde tels Tintin, Titeuf, ou encore, Lucky Luke…
Depuis 2008, ce sont deux éditeurs de l’Outre-mer, Caraïbéditions aux Antilles et Epsilon à La Réunion qui se sont lancés dans la traduction en différents créoles (antillais, réunionnais, mauricien) de quelques titres de ces séries.
En marge de ce mouvement de traduction, ces deux éditeurs proposent aussi quelques créations originales, en français cette fois, et insufflent une belle vitalité au genre de la bande dessinée dans les îles.
Florent Charbonnier et Éric Robin se sont prêtés au jeu de cet entretien croisé pour expliquer leur politique éditoriale.
Marie-Paule Huet, guidée par Sori Camara, a recueilli dix contes du pays manding au cours de nombreuses soirées organisées à cet effet en 1998-1999. Présentés en traduction française accompagnés du nom de leurs conteurs et dotés d’un titre, ils sont écrits dans un style vivant qui rend compte de l’oralité des récits. On retrouve dans ces textes le même arrière-plan que dans bien d’autres contes africains : celui d’un univers habité par le surnaturel, où humains et esprits se côtoient entre la cour et la maison, les champs, le marché et la rivière. Dans ce monde rural, le groupe est au moins aussi important que les individus. Plusieurs contes mettent en scène les querelles entre coépouses: importance du mariage et de la famille élargie, misère des femmes stériles, désir de l’héritier, statut préférentiel des garçons, respect dû aux anciens, valeur de l’entraide et crainte des femmes âgées dotées de pouvoirs ésotériques. Comme dans le reste des contes merveilleux, les arbres sont là pour venir en aide aux humains en difficulté et les voyageurs sont sûrs de bénéficier de l’aide des animaux et des objets magiques. Un beau recueil qui aurait mérité une présentation du pays manding.
Nous ouvrons le carnet intime de Rayyan, douze ans : du texte bien sûr, mais aussi des croquis rapides ou des dessins élaborés, des collages de photos, de timbres postaux, de pages détachées d’autres cahiers, des remarques, des petits mots doux, des mots de colère ou de tristesse, avec différentes écritures reproduites dans diverses couleurs aussi, etc. La lecture des premières pages nous plonge dans un roman qui, avec le prétexte d’offrir à lire les pensées d’un petit garçon et la manière dont il a envie de nous présenter son quotidien, nous raconte une histoire, celle de Rayyan, dont la maman est morte dans un accident de voiture, et qui vit avec son père pilote d’avion, souvent en voyage, et sa grand-mère.
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.