Océan Indien
Le dernier dodo
Ce récit raconté à la première personne par le dernier survivant des dodos, expose la destruction de la faune par l’homme, le rapport particulier qu’il a eu par le passé jusqu’à aujourd’hui avec la nature.
CB
Océan Indien
Ce récit raconté à la première personne par le dernier survivant des dodos, expose la destruction de la faune par l’homme, le rapport particulier qu’il a eu par le passé jusqu’à aujourd’hui avec la nature.
CB
Monde Arabe
Sur l’île des dodos, la vie s’écoule paisiblement. Les fruits mûrs tombent aux pieds des dodos qui peuvent se nourrir sans souci. Ils ne peuvent pas voler, même s’ils ont des ailes ; comme la plupart des dodos préfèrent utiliser leur tête plutôt que leurs ailes, cela ne les dérange pas. Mais bon, certains auraient bien aimé voler…
HC
Océan Indien
Crée en 2010 par Corinne Fleury et Anthony Vallet, Atelier des Nomades est une maison d’édition franco-mauricienne. Les deux créateurs essaient de mêler curiosité et rencontres des cultures pour ces publications destinées à la jeunesse. Dans le Dodo aux plumes d’or, un chasseur d’oiseaux attrape un magnifique Dodo. Chaque matin ce Dodo pond un œuf que le chasseur revend au cuisinier d’une riche famille...
CB
Océan Indien
Voilà un livre singulier : il s’agit d’un documentaire consacré à l'oiseau disparu le plus célèbre, mais il s’apparente à un album avec ses illustrations non-réalistes. S’il présente rapidement les caractéristiques principales du dodo, il s'attache avant tout à retracer les représentations qui ont été faites de cet animal dans les récits de voyage et dans la littérature – écrite comme orale.
JP
Océan Indien
Une fois n’est pas coutume dans Takam Tikou, nous présentons un abécédaire tout en anglais, dans une langue accessible et joliment rythmée, mettant en scène les animaux et leurs caractéristiques. Le choix de la langue correspond au contexte multilingue de l’île Maurice dont l’auteure, Priya N. Hein est originaire. Cet album est son troisième livre… sur le dodo. En revanche, c’est la première fois qu’elle en est également l’illustratrice. Un petit album gai et coloré. (ALC)
Océan Indien
Quel joli projet que celui de cette bande dessinée ! Cette publication est, d’abord, le signe d’une vitalité de la bande dessinée dans l’océan Indien, et plus particulièrement à Maurice.
ALC
Dans cet imagier bilingue français-fon, chaque page cartonnée représente la famille du poulailler, la pintade et le canard, le hérisson et le lapin, sans oublier le mouton, la vache et le cheval. Seul le cochon manque à l’appel. Les images sont d’une très grande lisibilité pour l’enfant. Le mot est écrit deux fois, une première fois en fon, une seconde, tel qu’il doit être phonétiquement prononcé comme le suggère le pictogramme du haut-parleur.
C’est le récit d’Alzbeer Suliman que nous découvrons ici : son enfance dans le village de Labdo, au sud-ouest du Darfour ; sa relation privilégiée avec son grand-père, personnage éminemment humaniste, toujours bienveillant envers les autres et grand connaisseur des plantes avec lesquelles il confectionne baumes et médicaments ; la présence quotidienne attentive de sa sœur Salma ; la « trahison » de ses parents qui cuisinent le coq qu’Alzbeer a reçu en cadeau pour ses bons résultats scolaires… Ces moments de vie, auréolés de nostalgie, sont racontés à la première personne avec douceur, tendresse et poésie.
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Les mercredis, Lila adore aller chez sa mamie. Il faut dire que celle-ci cache dans son grenier un secret fabuleux : une machine à voyager dans le temps. Ensemble, elles partent en 1801, à la découverte du passé de leur île, La Réunion.