Auteur :Patrick DurvilleIllustrateur :Nadia CharlesÉditeur :Editions du Cyclone
Théo part en vacances avec ses parents au large de Madagascar ; belle croisière en perspective ! Mais après une violente tempête le jeune garçon dérive sur un radeau de survie vers une île déserte : il a tout perdu.
Ce qui devait être une aventure de quelques heures sur l’eau, à bord d’une grande boîte en polystyrène transformée en rafiot de fortune, tourne au cauchemar : trois garçons, une fille et un chien, embarqués à Bourj-Hammoud, quartier arménien de Beyrouth, dérivent vers le large. Ballottés par les vagues, risquant l’insolation le jour et grelottant de froid la nuit, affamés, assoiffés, déshydratés, les enfants croiront leur dernière heure arrivée… Leur périple durera plusieurs jours. Ils se réveilleront à l’hôpital...
Dans cet imagier bilingue français-yoruba, chaque page cartonnée représente des animaux sauvages au regard très expressif comme si, loin d’être sauvages, ils étaient des présences familières tels des personnages de dessins animés. Les images sont d’une très grande lisibilité pour l’enfant. Le mot est écrit deux fois, une première en yoruba, une seconde, tel qu’il doit être phonétiquement prononcé comme le suggère le pictogramme du haut-parleur.
Cet album documentaire raconte la vie et l’œuvre de ce grand homme, Talaat Harb (1867-1941), qui a construit l’Égypte contemporaine et permis aux Égyptiens de reprendre en main leur destin.
Fondateur de la banque Misr, première banque égyptienne nationale où les actionnaires et les financeurs sont égyptiens, il a aussi créé plusieurs usines de coton et est à l’origine de la compagnie égyptienne Egyptair. Il a également investi dans la culture et fondé Studio Misr, incontournable dans l’industrie cinématographique.
Ce recueil de bande-dessinée est une compilation de trois titres : Petit-Jacques et le cocotier, Petit-Jacques et le tambour magique et Petit-Jacques et la Manman Dlo, publiés séparément chez le même éditeur entre 2010 et 2011.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.