Contes
Le Lion et le Buffle
Ce conte du Mali explique comment le lion remplaça le buffle à la tête du royaume des animaux. Le buffle avait toujours été le premier à entrer dans la rivière et aucun des animaux n’avait jamais contesté son autorité.
Contes
Ce conte du Mali explique comment le lion remplaça le buffle à la tête du royaume des animaux. Le buffle avait toujours été le premier à entrer dans la rivière et aucun des animaux n’avait jamais contesté son autorité.
Contes
Voici un recueil de vingt-cinq contes collectés dans la région de Tamanrasset en Algérie. Les histoires d’animaux où chacal et lion rivalisent pour dominer l’autre, tels renard et loup, lièvre et hyène... alternent avec des histoires de bêtise ou de sagesse. Elles sont racontées de façon enjouée par une journaliste à la plume alerte.
Contes
Ce livre est l’édition d’une collecte de contes réalisée en vue de l’obtention d’un diplôme universitaire de troisième cycle. Une longue introduction présente la collecte, les conteurs et le contexte dans lequel les récits se sont développés. L’auteur transmet fidèlement vingt-six contes et neuf mythes. Sans fioritures ni effets de style, ils sont livrés dans une langue simple mais efficace.
Contes
L’auteur, habitué des voyages africains dont le dernier l’a conduit vers cinq pays (le Mali, le Burkina Faso, le Niger, le Togo et le Bénin), offre ici un recueil de quarante-six contes qu’il a collectés au Mali.
Contes
Ce recueil, consacré au Burkina Faso, rassemble une soixantaine de contes, légendes et anecdotes dont l’auteur tire une morale. On y retrouve des versions de contes connus en Europe comme « Le Lion et le rat », « Le Mari de la femme bossue » ou « La Soupe de pierre », attestant que le conte ne connaît pas les frontières et se laisse approprier sans problème. D’autres sont typiquement africains.
Contes
Édition « collector » du livre publié en 1999, toujours disponible, réalisée à l’occasion des vingt ans du Seuil Jeunesse mais en plus grand format avec couverture toilée et tiré à part.
Contes
Voici une adaptation d’un conte somali autour de l’ogresse Bouti qui, entre autres méfaits, s’attaque aux jeunes femmes pour leur sucer le sang et leur croquer les seins. Elle ne s’arrête pas là...
Contes
Djibouti – comme d’ailleurs les autres pays de la corne de l’Afrique, Érythrée, Éthiopie, Somalie – est peu présent dans l’édition jeunesse. On salue donc cette initiative éditoriale locale menée dans le cadre de l’Atelier d’édition « Le Dig Dig » (une antilope qui saute sur la pointe des sabots !). Bouti de Djibouti reprend un des textes d’Yves Pinguilly parmi la vingtaine composant Contes et légendes d’Afrique d’Ouest en Est, bon recueil publié chez Nathan en 1997.
Contes
Un roi sans enfants adopte trois garçons et leur lance un défi : son successeur sera celui qui obtiendra la plus belle récolte à partir du grain de maïs qu’il donne à chacun. Or, les grains ne poussent pas.
Romans
La collection « Volubile : une aventure dans un lieu imaginaire ou réel », où sont parus entre autres des textes de Jean-Yves Loude et de Michel Piquemal, propose le premier roman d’Arnaud Rodamel, bibliothécaire qui a fait plusieurs voyages en Afrique de l’Ouest. Comme l’indique le titre, Un Toubabou [ou Toubab : Blanc] au Mali, le thème de ce roman très intéressant est la relation entre Européens et Africains – en l’occurrence, entre Français au Mali et Maliens – et, au-delà, la question de la rencontre de points de vue différents.
Le grand frère de la narratrice est l’objet de la colère quasi muette de sa mère. Des sourcils froncés sur la page de gauche, une unique réprobation sans explication sur la page de droite : « Valéry ! » Mais qu’a donc bien pu faire ce grand frère pour provoquer l’ire maternelle ? Le suspens dure au cours de double-pages où la petite sœur s’interroge en repensant à la journée qui vient de s’écouler sereinement entre lac, montagne et arbres fruitiers. Pendant ce temps-là, nous tournons les pages et notre regard est attiré par un tout petit pot de miel présent sur chaque numéro de page comme un rappel du titre et une annonce du dénouement. En attendant, l’angoisse de la petite sœur s’étire devant une colère qui ne la touche pas directement mais l’atteint fortement. La chute a une portée universelle car elle parle d’injustice involontaire du parent au sein d’une fratrie. A la lecture de l’album, on est frappé par la beauté des illustrations et tout particulièrement des arbres fruitiers et de leurs fruits : les pruniers mombins, les anarcadiers et les manguiers. Les illustrations de ce livre ont reçu en 2019 le premier prix du Prix Hervé Gigot pour l’illustration du Livre jeunesse en Afrique.
Salah Elmour, originaire du Soudan, a étudié les arts appliqués à l’université de Khartoum avant de devenir peintre et illustrateur. Il puise son inspiration dans l’art populaire et les fresques peintes sur les murs d’argile des maisons de la Haute Vallée du Nil. Chabandour est magicien, un magicien peu ordinaire qui ne fait pas sortir de lapin de son chapeau mais une palmeraie ou une autruche d’une boîte d’allumettes. Ce récit poétique de magie est accessible pour les plus jeunes. Le texte est bilingue arabe-français, et il faut saluer la nouvelle traduction de Mathilde Chèvre qui donne un réel élan aux mots du poète et permet une redécouverte émerveillée de cet album.
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.