Mayotte, île française dans le canal du Mozambique, plaque tournante des mouvements migratoires des populations venues des Comores, de Madagascar et de quelques pays africains. Marie, infirmière en mal d'enfant, adopte un enfant comorien abandonné par sa mère en raison de ses yeux vairons, signes de malheur chez les siens. Moïse grandit, en vase clos avec Marie. À ses 15 ans, elle lui révèle la vérité sur sa naissance.

Un petit garçon dont la famille est expatriée en France vient pour la première fois passer des vacances chez sa grand-mère, à Edea, dans le pays Bassa, au sud du Cameroun. Là, il découvre les fourmis magnans (ou fourmis légionnaires), très grosses et très voraces, redoutées des villageois. Quand sa grand-mère veut les détruire, il s'insurge et obtient de la communauté qu'elle jette les déchets au loin. Les fourmis déménagent vers la nouvelle décharge et tout va bien.

La petite Prodige vit avec sa famille en République Démocratique du Congo. Depuis l’âge de six ans, elle travaille dans des mines de diamant, comme ses frères et sœurs. En accompagnant son père à Kinshasa dans le but de vendre leurs pierres, Prodige entend par hasard une chorale.

Retranchés du monde mais en premier de la folie des hommes dans cette vallée protégée, cachée au cœur de l'Afrique, l'homme et la femme avaient lentement réappris à vivre. Ils avaient créé une famille, un cocon fragile, et espéraient être en sécurité, hors d'atteinte. Jusqu'à ce qu'un cheval venu de nulle part et la curiosité de leurs enfants pour cet ailleurs les précipitent tous hors du jardin d'Éden... en 1786, au cœur du trafic d'esclaves et du commerce triangulaire entre l'Afrique, l'Europe et les Caraïbes.

L'autrice, qui a longtemps vécu en Afrique, raconte l'histoire de Makena, 11 ans, passionnée d'alpinisme comme son père, dont la vie normale de collégienne kenyane bascule lorsque ses parents meurent du virus Ébola. Elle se retrouve avec des milliers d'orphelins dans un bidonville de Nairobi. La rencontre avec Neige, albinos menacée de mort, lui permet de survivre et de trouver un peu d’humanité.

La jolie couverture de cet ouvrage, qui propose des activités destinées aux enfants de 2 à 11 ans, d’Afrique, de Madagascar et de l’océan Indien, résume les buts du livre en quatre verbes – raconter – explorer – jouer et créer. Initialement sorti chez Casterman, il a fait l'objet d'une cession de droits et a reçu le label « Le livre équitable » décerné par l’Alliance internationale des éditeurs indépendants aux coéditions solidaires.

Qu'est donc cette flottille de l'espoir ? Drôle de titre pour un ouvrage sur la lutte contre le sida. D'autant que l'auteur de ce livre précise dans son introduction que le lecteur n'y trouvera « aucune information sur ce qu'est le sida, sa progression ou sa prévention ». Voilà donc un nouveau type de support édité par le Centre pour la Promotion de la Santé de Kangu-Mayumbe en République Démocratique du Congo.

Voici le troisième volume d'une série consacrée aux femmes puissantes en Afrique. Le volume 1 présentait Aline Sitoé Diatta, Anne Zingha et Lalla Fatma N'Soumer, le volume 2 Yaa Asantiwa, Sarraounia et Ndabaga. Ils ont été chroniqués dans Takam Tikou.

Les cinq publications issues de la collection Manuels pour instituteurs et écoliers constituent l'un des multiples supports développés par le Centre pour la prévention de la santé en République démocratique du Congo. Avec les Manuels pour médecins et infirmiers (L'Amour, le sexe, qu'en penses-tu ?), la bande dessinée (Monzeli, Makaya, Nzinga et les autres) et les pièces de théâtre (Monzeli ou les jeunes à l'heure du sida), cette série de livrets à destination des instituteurs vient parfaire le kit éducatif réalisé par l'ONG congolaise pour atteindre les populations locales.