La Maison de Lalla Chama
دار للا شامة
Comme la maison de Lalla Chama « n’a ni porte ni gardien », plusieurs animaux et objets proposent de la garder durant son absence. Le voleur qui pensait trouver la maison vide est bien attrapé : il est piqué par l’aiguille cachée sous la couverture, sali par la crotte du chat, attaqué par le scorpion, aveuglé par la fiente du coq… Ce conte, qui en rappellera d’autres, est écrit en arabe dialectal marocain rimé. La traduction française est rimée elle aussi. Le livre s’ouvre à la verticale, ce qui permet une lecture des textes dans les deux langues en parallèle.
HC