Il y a 1597 occurrence(s) organisées en 160 page(s)
Vous consultez les occurrences de 1101 à 1110 de la page 111

L’AfLIA, première association panafricaine de bibliothèques : un nouveau champ d’action pour les professionnels francophones

Par Cécile Coulibaly

Si les associations nationales de bibliothécaires sont précieuses pour la profession, l’engagement au niveau du continent l’est aussi. Pour la première fois, les professionnels des bibliothèques de tous les pays africains peuvent travailler ensemble à ce niveau, grâce à la création de l’AfLIA, qui réunit tant les institutions que les associations de toute l’Afrique. AfLIA offre d’énormes possibilités… mais seulement si les professionnels s’engagent ! L’article de Cécile Coulibaly, membre du Conseil d’administration de l’AfLIA, présente en détail l’association, en attendant que son site soit traduit en français, et lance un appel aux professionnels francophones à adhérer à l’association, à se joindre aux comités professionnels et à participer au prochain congrès, à Accra.

› Accédez à l'intégralité de l'article

Afrique

Le Règne du margouillat

Kàkeleo făngi

À partir de 5 ans
Auteur : Salifou Soro Illustrateur : Mafri Bamba Éditeur : Le Monde à notre porte

Le Règne du margouillat donne une place importante aux enfants : si le margouillat s’enfuit devant les enfants, c’est tout simplement qu’il en a peur depuis qu’on l’a élu roi sans les en informer. Le texte est simple, facile à comprendre pour des lecteurs débutants.

MPH

 

› Accédez à l'intégralité de la notice


Charte néthique

Vous avez la parole !

 

L’équipe éditoriale de takamtikou.bnf.fr vous propose de réagir au contenu de la revue en postant vos commentaires. Dans l’optique de créer un espace d’échanges le plus convivial et respectueux possible, voici quelques règles de conduite :

 


Océan Indien

Coup de cœur

Daba, l’enfant qui n’aimait pas l’école

À partir de 6 ans
Auteur : Salim Hatubou Illustrateur : Mathilde Drault Éditeur : Orphie

Après avoir essayé d’aller à l’école, Daba est déterminé : il n’aime pas l’école, il préfère rester à la maison. Seulement voilà, au fil du temps ce petit garçon devient « idiot », on l’appelle  « Daba Wure » c’est à dire «l’idiot qui bave ». Rien n’a de sens à ses yeux.

CB, LM

 

› Accédez à l'intégralité de la notice


Afrique

Coup de cœur

Le Croqueur croqué

À partir de 14 ans
Auteur : Jeff Ikapi Éditeur : L'Harmattan

Le croqueur qu'on voit sur la couverture est un ogre maléfique, qui va refermer ses grandes dents sur un petit animal terrorisé. Mais le croqueur, c'est aussi celui qui fait des croquis, le dessinateur de presse. C'est donc à une lutte sans pitié que nous assistons, entre un ministre irascible (las d’être ridiculisé, il demande de l’aide à un sorcier) et un sympathique caricaturiste, évident avatar de l'auteur qui exerce le même métier. Les formes que prend le combat politique sont ici originales, puisqu'au-delà du match entre les adversaires déjà évoqués se déroule un second combat entre deux sorciers, l'un adepte de la magie noire et l'autre maître de la magie blanche. On va donc de retournement de situation en retournement de situation jusqu'à un dénouement classique où le méchant est puni et le bon récompensé.

CR

 

› Accédez à l'intégralité de la notice


TAKAM TIKOU

Mars 2021

C’est avec une grande émotion que nous publions cette nouvelle édition de Takam Tikou, la première après le décès de notre collègue et amie Viviana Quiñones, co-fondatrice, avec Marie Laurentin, de notre revue.

Responsable de l’Afrique au sein du secteur international du CNLJ, Viviana était une militante du livre et de la lecture. Son engagement en faveur de la promotion du livre africain pour la jeunesse était entier, passionné. Elle savait défendre les idées qui lui tenaient à cœur, rassembler les personnes autour d’elle et partager, transmettre sa passion pour le livre jeunesse, à travers les formations sur le terrain ou les articles de Takam Tikou. Les témoignages de soutien que nous avons reçus des acteurs du livre en Afrique, qu’elle chérissait,  ou de ses collègues de l’IFLA, instance dans laquelle elle s’était engagée, ont illustré l’impact que Viviana a eu sur celles et ceux qui l’ont côtoyée. Son engagement continuera donc à porter des fruits.

Nous dédions cette édition de Takam Tikou à Viviana. Ce dossier sur l’édition solidaire lui aurait sûrement beaucoup plu, elle qui militait pour la bibliodiversité. Et elle aurait été ravie de constater que le travail du comité Afrique continuait toujours, et qu’une nouvelle bibliographie était proposée, parallèlement aux autres bibliographies des 4 mondes de Takam Tikou.


Takam Tikou

Juillet 2015

Takam Tikou met en lumière le travail de l'association PRAESA en Afrique du Sud, en particulier sa campagne de lecture en diverses langues ; un travail exemplaire pour lequel PRAESA a reçu le prestigieux prix ALMA 2015 (Astrid Lindgren Memorial Award). La question de l’accès des enfants palestiniens aux livres en arabe est abordée à travers l’article d’Eva Devos, une bibliothécaire belge qui a fait une mission sur place. De nouvelles bibliographies complètent cette édition. Nous vous invitons également à découvrir les événements programmés à la BnF dans le cadre de la manifestation « Lire en short, la grande fête du livre pour la jeunesse » (17-31 juillet), ainsi que la sélection « 100 lectures d’été pour tous les âges ». Bonnes lectures !


Afrique

Coup de cœur

Èza ma poupée

À partir de 2 ans
Auteur : Hortense Mayaba Éditeur : Ruisseaux d’Afrique

Dès la couverture, les regards intenses d’une petite fille et de la poupée qu’elle tient dans ses bras attirent irrésistiblement... Par la grâce d’une poupée qui lui a été offerte, la jeune Bassa, tout juste arrivée au village, va déclencher chez chacune de ses petites camarades de jeux le désir intense d’en avoir une toute à soi.

ML

 

› Accédez à l'intégralité de la notice



Afrique

Djomoya ou la folle promesse

À partir de 9 ans
Auteur : Kparatiogo Koné Illustrateur : Charles Sraka,  K. Marc Kouassi Éditeur : Africa Reflets Éditions

Tchéwôlô est une très belle jeune fille qui ne peut s'empêcher de parler encore et encore de sa beauté, d'où son surnom, Djomoya, qui signifie « cesse de bavarder ». Elle se marie mais ne peut avoir d’enfants, elle est la risée du village et subit les moqueries des femmes quand elle va chercher de l’eau ou du bois. Elle s’éloigne donc de ces lieux pour s’approvisionner dans les endroits sacrés, interdits, où elle ne croise personne. Malgré les mises en garde de son mari, Djomoya continue de profaner ces lieux. Un jour, elle fait à un inconnu qui l’aide la « folle promesse » de lui donner ce qu’elle a de plus cher.

FC et ST

 

› Accédez à l'intégralité de la notice