Depuis la mort de sa mère, Oumy, une jeune fille très bien élevée, vit avec sa belle-mère, la seconde épouse de son père, et la fille de celle-ci. Sa belle-mère, qui la maltraite, envoie Oumy chercher de l’eau avec un canari, récipient en terre cuite, dans la forêt. Par accident et par malheur, elle casse le canari. La belle-mère la renvoie dans la forêt en chercher un nouveau sous peine de ne pas pouvoir rentrer.
Un beau poème d’Amal Dunqul, un poète égyptien célèbre (1940-1983) est publié sous forme d’album chez Tanmia. Il a été illustré par Sahar Abdallah, dans la même veine, mais pas le même format, que les titres [Pense aux autres] فكّر بغيرك et [Le Pain de ma mère] خبز أمّي qui reprennent les poèmes de Mahmoud Darwich. Le poème invite le lecteur, jeune et moins jeune, à reconsidérer la notion de sérénité et sa fragilité, et à appréhender les facteurs qui peuvent la perturber.
Ce recueil de bande-dessinée est une compilation de trois titres : Petit-Jacques et le cocotier, Petit-Jacques et le tambour magique et Petit-Jacques et la Manman Dlo, publiés séparément chez le même éditeur entre 2010 et 2011.
Le village de l’îlet Bois de couleur est un village paisible, en bordure de la forêt qui lui a donné son nom. C’est un bois magnifique avec des essences d’arbres rares : bois maigre aux minuscules fleurs roses, immenses tans rouges, bois de nèfles aux petites fleurs rosées, tamarins tortueux ou brandes aux troncs noueux.