Caraïbe
Abécédaire de l’esclavage
L’Abécédaire de l'esclavage est le dernier tome de la série des Abécédaires des Antilles-Guyane signés par Rabeha Fagour-Dairi pour les textes et les illustrations chez Caraïbéditions.
CB
Caraïbe
L’Abécédaire de l'esclavage est le dernier tome de la série des Abécédaires des Antilles-Guyane signés par Rabeha Fagour-Dairi pour les textes et les illustrations chez Caraïbéditions.
CB
Afrique
Myriam, princesse « mandinka », est « une redoutable guerrière et une chasseresse hors pair » au grand désespoir de sa mère qui souhaite la voir abandonner ces activités masculines pour se marier. Mais la vie de la jeune fille va prendre une tournure dramatique avec l’arrivée des « hommes sans peau » : son père tué, sa sœur enlevée, la jeune fille se lance à la poursuite de ces Blancs venus capturer les siens. Sa quête la mènera de l’Afrique de l’Ouest jusqu’en Angleterre où, dans la deuxième partie du roman, elle découvrira ce qu’est la vie d’une esclave - ainsi que l’amour – et se verra mêlée aux luttes fratricides dans la cour royale.
FC
Monde Arabe
Dans ce bel album aux illustrations de toute beauté, nous suivons avec beaucoup d’émotions Paul Imbert, marin français, dans ses péripéties depuis les dunes des Sables-d’Olonne à la cité de sable de Tombouctou. Fasciné par les bateaux depuis sa tendre enfance, le petit Paul fera son premier voyage en mer à quatorze ans...
SR
Caraïbe
Roland Monpierre relève le défi de publier en bande dessinée une adaptation d’un roman d’Alexandre Dumas : Georges. Il s’agit sans doute du roman le plus personnel que Dumas ait écrit et le seul dans lequel il aborde les questions de l’esclavage, du racisme et de la colonisation. Georges raconte l’histoire, à partir de 1810, de la famille Munier, installée à l’ïle Maurice.
NB
Océan Indien
Voici un recueil de six nouvelles extrêmement intéressant, réunissant des auteurs phares de La Réunion, et intelligemment présenté : un classement géographique en fonction de l’ancrage des nouvelles, des illustrations de techniques différentes (photographie, peinture, dessin) pour chacune signées Pascale Fontaine, et un petit complément documentaire en fin d’ouvrage, lexique inclus.
Afrique
Dans ce second tome d’une trilogie annoncée, le bédéiste congolais Serge Diantantu poursuit, dans la rigueur et avec une grande richesse documentaire, le devoir de mémoire auquel il s’est attelé. Il retrace la découverte, par les navigateurs portugais, du royaume Kongo à partir de la côte ouest de l’Afrique centrale dans les dernières décennies du XVe siècle.
Marie Laurentin
Caraïbe
Entre l’album, le conte et le petit roman, cet ouvrage nous entraîne au temps de l’esclavage dans les plantations de canne à sucre. Àcette période, au moment du travail dans les champs de canne, tout le monde était réquisitionné de l’aube au coucher du soleil.
CDV
Afrique
En 1454, une décision pontificale donne autorisation au roi du Portugal de pratiquer la traite des Africains, de les asservir et de les convertir. Si Gorée, au Sénégal, évoque immédiatement l’histoire de la déportation en masse d’esclaves, il n’en va pas de même pour Boulambemba, île oubliée de l’histoire, à l’embouchure du fleuve Congo. Elle est cependant le premier témoin du « stockage » et de l’arrachement en masse des Africains à leur terre natale, et ce pendant quatre siècles.
ML
Océan Indien
« Bahiya était fille de roi. Elle est née au cœur du pays Mozambique, près du grand lac Nyassa. Sa beauté était telle dès la naissance que ses parents lui donnèrent ce prénom que signifie belle ». Cette phrase revient comme un refrain au fil du texte de ce bel album de bande dessinée et va rapidement sonner comme une menace.
NB
Caraïbe
Transmettre la mémoire collective, sans fioritures, dans un style direct, de façon à permette au lecteur de se réapproprier ce passé douloureux pour mieux asseoir son identité, tel est le pari pris – et tenu – par Dany Bebel-Gisler dans ce documentaire à l’iconographie très riche, faite de belles illustrations mais aussi de reproductions de gravures de l’époque.
NB
Tel un taxi brousse sillonnant villages et quartiers, dans lequel s’échangent des histoires de vie, Solo Niaré nous conte vingt fables, plus réalistes et cruelles les unes que les autres. Prenant pour décor l’univers de la savane, il donne la parole aux animaux pour tenter de traduire le monde qui nous entoure.
Un voyageur, épuisé par un long périple, arrive aux portes du Darbistan « pays de la bonté et de la générosité ». Dès son entrée dans le souk, à chaque fois qu’il pénètre dans un magasin, il est assailli par un commerçant qui veut lui offrir quelque chose : de la nourriture, des boissons, des vêtements, un parapluie... Notre voyageur est gêné, surtout qu’on ne lui donne jamais l’occasion de dire ce qu’il cherche...
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Un très gourmand maki veut manger un morceau du gâteau au chocolat de la petite Toni. Pour se faire, il demande de l’aide à la souris, à l’oiseau papangue, au serpent…