Monde Arabe
[Monsieur Daqdouq]
السيّد دقدوق
À l’époque où il n’y avait ni montre, ni téléphone, ni réveille-matin, c’est Monsieur Daqdouq, qui, dès l’aube, parcourait chaque matin les ruelles et les rues de la ville, en s’arrêtant sous chaque fenêtre, qu’il heurtait légèrement de son long bâton, tout en chantant : « réveille-toi, toi qui dors » pour réveiller tout le monde. Le temps a passé, la ville s’est étendue, on a construit de plus en plus de maisons, et des maisons de plus en plus hautes. Si bien qu’un jour est arrivé où il n’était plus possible à Monsieur Daqdouq d’atteindre les fenêtres les plus hautes.
LV