Monde Arabe
Les Légendes de Casablanca
La ville de Casablanca est émaillée de petits sanctuaires ou de lieux dont les noms font référence à une légende ou à un fait historique. Cinq de ces histoires nous sont racontées ici.
MW
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La ville de Casablanca est émaillée de petits sanctuaires ou de lieux dont les noms font référence à une légende ou à un fait historique. Cinq de ces histoires nous sont racontées ici.
MW
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« J’aime faire du pain avec maman. Parce que le pain frais, ça sent tellement bon, et c’est tellement délicieux ! » Mais l’histoire du pain commence bien avant, quand le grain de blé est semé en terre. Et nous suivons les péripéties du grain de blé jusqu’au four familial, entouré d’adorables petites souris et de divers insectes. Une jolie célébration de la nature, avec de charmantes illustrations.
MW
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L’auteur invite à découvrir Casablanca à travers les yeux de Lina, une fillette qui nous raconte deux aventures...
LV
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Zaynat annonce à sa mère qu’elle ne dormira plus à partir d’aujourd’hui. Elle croit avoir trouvé le moyen d’empêcher la nuit de tomber : elle dessine un énorme soleil qu’elle affiche à la fenêtre de sa chambre, mais sans résultat...
LV
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L’intrigue est simple : notre petit héros a beaucoup de bulles de gaz dans le ventre. Lorsqu’elles sortent, elles font un bruit de tonnerre ou répandent une odeur pestilentielle… et il n’en est pas peu fier !
MW
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Le petit mulet n’osait jamais chanter bien que, entendant tous les autres le faire, il rêvait de se lancer. Et la pluie qui ne se décidait pas à tomber, la sécheresse qui s’installait, et tous – humains, animaux et plantes – qui désespéraient…
MW
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« Maman, combien tu m’aimes ? » « Je t’aime aussi grand que la mer et ses vagues, que le désert et ses dunes, que le ciel et ses nuages… » « Eh bien moi je t’aime grand comme ça ! » répond le petit garçon en ouvrant très large les bras, grâce à une double page dépliante. Un joli livre aux illustrations simples et colorées, dans lequel se retrouveront parents et enfants.
MW
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La couverture du livre, par sa couleur d’un rouge profond marbré de noir, et le beau papier ivoire des pages évoquent, d’entrée de jeu, le cahier offert autrefois à une fillette par son père. Dans le buffet, sa mère a rangé, à côté de l’argenterie, un superbe crayon rapporté de voyage par son oncle. Ce crayon orné d’un pompon rouge la fait rêver…
LV
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La couverture du livre, par sa couleur d’un rouge profond marbré de noir, et le beau papier ivoire des pages évoquent, d’entrée de jeu, le cahier offert autrefois à une fillette par son père. Dans le buffet, sa mère a rangé, à côté de l’argenterie, un superbe crayon rapporté de voyage par son oncle. Ce crayon orné d’un pompon rouge la fait rêver…
LV
Monde Arabe
D’abord, des lignes de couleurs. Puis du bleu, du vert, du jaune, de l’orange, du rouge, du violet, qui se rapprochent pour former un grillage de couleurs, puis une image floue qui, nette, révèle le « Zeyer », le café parisien où aimait se poser l’artiste peintre libanais Shafiq Abboud. Ce sont là les premières pages de cet album qui va amener le lecteur à interagir avec les formes et les couleurs, et à réfléchir sur les œuvres d’Abboud.
NS
Ce récit nous conduit à un questionnement sur l’élevage et plus largement sur la condition animale. Des animaux d’une ferme décident de mettre fin à des années d’enfermement et de recouvrer leur liberté en prenant la clé des champs.
La journée commence mal pour Mademoiselle Ilham, la maîtresse d’école. Tout se ligue contre elle : elle a du mal à se lever du lit, n’arrive pas à trouver les bons vêtements à porter, se rappelle à la dernière minute qu’elle doit rendre les copies d’examen corrigées à ses élèves, les met dans son sac… et voilà que la tirette de la fermeture éclair se casse ! Décidément, tout va mal ! Mais Mademoiselle Ilham est d’un naturel positif : perchée sur sa mobylette, elle se dirige vers l’école en ce jour venteux d’automne, sans réaliser que les feuilles d’examen sont en train de s’envoler de son sac grand ouvert…
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Le village de l’îlet Bois de couleur est un village paisible, en bordure de la forêt qui lui a donné son nom. C’est un bois magnifique avec des essences d’arbres rares : bois maigre aux minuscules fleurs roses, immenses tans rouges, bois de nèfles aux petites fleurs rosées, tamarins tortueux ou brandes aux troncs noueux.