Deux adolescents, Mariama et Ibrahima, sont confrontés à la maladie, source de souffrances et de rejet dans leur entourage. Mariama, la jeune fille, est atteinte de drépanocytose, maladie génétique du globule rouge, très fréquente en Afrique subsaharienne mais peu connue en Afrique comme en Europe.

Cette collection de six livres (dont deux à paraître) raconte la vie d’Ahmadou Bamba (1853-1927), fondateur de l’importante confrérie mouride, qui associe à l’Islam des traits culturels wolof.

Sur les enfants, pour les enfants, cet ouvrage, qui se présente comme un « livre-monde » annonce une triple ambition : permettre de « savoir d’où l’on vient, où l’on va ; découvrir qui sont les autres ; se construire et devenir un citoyen du monde ».

Ce documentaire raconte l’histoire de Brazzaville, de sa fondation à la conférence de 1944, premier pas vers l’indépendance. Les années de la seconde guerre mondiale y sont plus particulièrement détaillées et montrent l’importance de Brazzaville, alors capitale de la France libre.

Les Pintades et les deux amis reprend un conte traditionnel expliquant l’origine des taches de la hyène. Le lièvre utilise la ruse pour capturer des pintades, mais l’hyène est tellement bête que, même si on lui donne le secret des ruses, elle est incapable de les utiliser, et tout se retourne contre elle. En version bilingue, le texte sénoufo se trouve à la fin du livre et reprend les illustrations du texte français en petit format (la version française est en ligne).

Siandou le magnifique reprend le schéma narratif de la fille qui fait des difficultés pour choisir un mari. Mais il s’agit ici du fils d’un roi et son exigence porte sur le choix d’un cheval. Celui qui trouvera grâce à ses yeux se révèle être un redoutable génie qui emportera ce jeune prince trop épris de beauté au détriment du bon sens.

Saniyadougou est une fable politique dont l’enjeu est l’hygiène d’une ville. Faut-il avoir la ville la plus propre et la plus belle au prix d’un travail harassant, exigé par un despote insatiable, ou lui préfère-t-on une ville sale où se développent miasmes et maladies mais où on est libre de faire ce qu’on veut ?

Le Chasseur de djinns met en scène un trop bon chasseur aux prises avec les diables. Ceux-ci, lassés d’être décimés, envoient la plus belle de leurs diablesses pour le séduire et lui ravir ses secrets, afin de le vaincre. Le piège fonctionne, mais l’arrivée de la mère du chasseur le sauve in extremis et si le combat avec les diables a lieu, le chasseur s’en tirera.

Sur le thème traditionnel, « on est gêné par une souris, si petite, si petite et l’on fait appel à une ribambelle d’animaux de plus en plus gros, jusqu’à l’éléphant, fort gênant »... Car, comme chacun sait, l’éléphant a peur des souris... Z

Fin des vacances. Une adolescente apprend qu’elle doit partir en pension finir ses études, parce qu’elle a raté son BEPC (brevet des collèges). La première partie du livre, écrite à la première personne, nous plonge dans ses états d’âme. Elle ne comprend pas la décision de ses parents, que sa mère ait si peu plaidé sa cause, que son père décide des choses d’une façon si autoritaire.