Bandes dessinées

Mokanda illusion

Mata Mata et Pili Pili

Par Francis Mongo [Awaï] Sisé

Comment une lettre (« mokanda » en lingala), envoyée de Bruxelles à Kinshasa, a-t-elle réussi à provoquer un espoir extravagant dans l’entourage des deux héros, Mata Mata et Pili Pili ? Dès la première planche, le ton est donné : la situation de l’Afrique est telle, que les Africains poursuivent « l’homme blanc chez lui pour trouver un mieux être ». L’auteur, Mongo Sisé, dénonce l’attentisme de l’Afrique face à l’Europe, d’abord, mais aussi d’autres maux.

› Accédez à la notice intégrale


Bandes dessinées

Coup de cœur

Eto’o fils

T. 1 : Naissance d'un champion

Par Samuel Eto’o FilsJoëlle Esso

Avec ce premier tome d’une bande dessinée consacrée à la star du football Samuel Eto’o, l’illustratrice – et musicienne – Joëlle Esso abandonne pour un temps les souvenirs d’enfance personnels qu’elle avait racontés dans sa première bande dessinée, Petit Joss. Elle reste cependant sur le terrain de l’enfance et dans son pays, puisque Samuel Eto’o a grandi, comme elle, au Cameroun.

› Accédez à la notice intégrale


Bandes dessinées

Coup de cœur

Cargaison mortelle à Abidjan

Par Japhet Miagotar

En relatant l’histoire de ce navire qui, en 2006, déchargea sa cargaison de « déchets hautement toxiques » dans le port d’Abidjan, le Camerounais Japhet Miagotar réussit à montrer l’un des côtés les plus négatifs de la mondialisation.

› Accédez à la notice intégrale


Bandes dessinées

Les Aventures de P’tit filou

Haïti mon amour

Par Koffivi Assem

À Port-au-Prince, P’tit Filou est un enfant du marché en fer. Il chaparde pour se nourrir mais il aime sa vie d’enfant des rues. Après le grand séisme qui a détruit la ville, un journaliste lui offre de la nourriture contenant un soporifique. Il se réveille à bord d’un navire qui l’emmène, lui et d’autres enfants, aux États-Unis pour être adoptés.

› Accédez à la notice intégrale


Albums

Ziguidi et les Animaux

Par KanAd

Pourquoi certains animaux sont-ils sauvages et d’autres domestiques ? Pour en avoir quelque idée, il faut remonter aux temps bien lointains où les continents étaient encore réunis et où les animaux cohabitaient le mieux du monde en un même village, tout en supportant de moins en moins bien les incursions humaines sur leur territoire – « on n’aime pas les étrangers », disaient-ils. Mais un petit bonhomme du nom de Ziguidi vint bientôt changer la donne.

› Accédez à la notice intégrale


Albums

Le Secret de Bomba

Par Mvondo Bete

Chez ses parents, au village, Bomba, jeune diplômé de l’université dans le domaine de l’agriculture, attend les résultats des concours. Sa mère est exaspérée de voir son fils inactif tous les jours. Un matin, Bomba disparaît. À partir de ce jour-là, on ne le voit plus que le soir, fatigué.

› Accédez à la notice intégrale



Albums

Coup de cœur

Kofi et le petit garçon de feu

Par Nei Lopes

Kofi était enfant dans un village du Ghana, au temps où ce pays s’appelait la Gold Coast et était une colonie anglaise. Il avait entendu dire qu’il existait des gens qui avaient des cheveux clairs et des peaux blanches, peaux qui rougissaient quand ils étaient en colère et qui, alors, pouvaient brûler celui qui les touchait. Imaginez alors son inquiétude quand il se trouva face à un jeune Anglais...

› Accédez à la notice intégrale


Albums

Coup de cœur

Le Jardin des rues

Par Béatrice Lalinon Gbado

Après la mort de sa mère en couche, la jeune Kattia Kpadé se retrouve seule avec son père. La vie dans la maison est bien triste. Le petit frère de Kattia a été confié à sa tante, et son père n’a plus la volonté de travailler le jardin qui est laissé à l’abandon. Kattia rencontre alors des enfants des rues qui fouillent dans une décharge pour gagner quelques sous.

› Accédez à la notice intégrale


Albums

Coup de cœur

Esperança : lettre d’une esclave au gouverneur

Par Sonia Rosa

Il émane de ce texte à la première personne une grande émotion : les mots de l’auteur semblent être ceux-là mêmes que cette femme admirable, Esperança, aurait choisis pour raconter son histoire. Esperança était esclave, mais ses maîtres, des pères jésuites, lui permettaient de vivre avec son mari et ses enfants et elle avait eu la chance d’apprendre à lire et à écrire. Elle fut aussi convertie au catholicisme. Hélas, elle dut quitter la ferme, n’emmenant avec elle que les plus jeunes de ses enfants, et travailler comme cuisinière chez un capitaine violent et intraitable., inspirée par sa lettre.

› Accédez à la notice intégrale