Il y a 1595 occurrence(s) organisées en 160 page(s)
Vous consultez les occurrences de 1461 à 1470 de la page 147


Les activités de l’association Mirada et son festival de bandes dessinées Komikazen

« Mirada » veut dire « regard » en espagnol. On retrouve dans ce terme la racine latine miror, qui signifie également s’étonner. Les latins étaient des maîtres en matière de regard : ils disposaient de pas moins de cinq verbes différents pour décrire l’action de voir.

Ainsi, l’association Mirada1 souhaite proposer des regards divers, des sensibilités visuelles, des imaginaires. L’attention suscitée par des expositions d’auteurs de bandes dessinées a conduit l’association à travailler dans ce domaine avec plus de rigueur et de continuité, aboutissant finalement, en 2005, à la naissance du festival Komikazen, premier Festival International de bande dessinée du réel. Un festival dont les auteurs, pour la plupart étrangers, sont unis par l’attention aux vrais problèmes, qu’ils soient d’ordre public ou privé.

Donner à voir d’autres manières de raconter une histoire : c’est là l’objectif fondamental du projet Mirada.

› Accédez à l'intégralité de l'article


Pour la prise en compte des traditions orales dans la formation des bibliothécaires

Par C. T. Chisita et I. Abdullahi

Voici, dans une version abrégée, la communication présentée par C. T. Chisita (Harare Polytechnic, Zimbabwe) et I. Abdullahi (North Carolina Central University, États-Unis) au congrès 2010 de l’IFLA (Féderation Internationale d’Associations de Bibliothécaires et d’Institutions) à Göteborg, en Suède, dans le cadre de la session « Formation en Bibliothèques et Sciences de l’Information dans les pays en développement ».

› Accédez à l'intégralité de l'article

Afrique

Sankofa N° 10

A journal of African Children’s and Young Adult Literature

Auteur : Collectif Éditeur : Sankofa Inc.

Sankofa, revue en langue anglaise, dont le titre vient d’un mot akan (Ghana et Côte d’Ivoire) signifiant « regarder en arrière », est destinée aux enseignants, étudiants, bibliothécaires, chercheurs, écrivains, illustrateurs et éditeurs. Son but est d’offrir des études sur la littérature de jeunesse en Afrique et dans les pays de la diaspora et de stimuler un dialogue à ce sujet d’un pays à l’autre, ainsi que de faire connaître les nouvelles parutions aux États-Unis d’ouvrages sur l’Afrique, et de contribuer à améliorer leur qualité en signalant les préjugés et les stéréotypes qu’ils peuvent contenir.

Viviana Quiñones et Françoise Ugochukwu

 

› Accédez à l'intégralité de la notice


Afrique

Chemins d’école au Togo

Grands adolescents et adultes
Auteur : Gabrielle Huet Éditeur : Graines de Pensées

Chemins d’école au Togo : le titre de l’ouvrage de Gabrielle Huet entre en résonnance naturelle avec celui du film documentaire à succès de Pascal Plisson, Sur les chemins de l’école, sorti en 2013 (on peut le voir en ligne). On y décèle bien l’intérêt commun pour ces histoires d’écoles loin des pays où leur existence semble tellement aller de soi qu’elle ne suscite guère d’enthousiasmes débordants. Et surtout, l’intérêt pour ces « écoliers », sorte de pionniers héroïques pour certains d’entre eux…

ML

 

› Accédez à l'intégralité de la notice


Quand les auteurs et éditeurs africains de bandes dessinées publient en France et en Belgique

 

Afrobul : Africalement. Afrobulles, 2006

Depuis le début des années 2000, les auteurs africains de bandes dessinées sont de plus en plus présents dans le paysage du neuvième art franco-belge. La raison tient à leur talent et à leur professionnalisme, très appréciés des maisons d’éditions européennes avec lesquelles ils travaillent. Pahé, Thembo Kash, Barly Baruti, Hallain Paluku, nombreux sont les dessinateurs africains connus du public européen amateur de bande dessinée. Pourtant, si ces dessinateurs publient régulièrement, très peu d’entre eux abordent des sujets qui font référence à leur culture d’origine ou à des thématiques qui les touchent. C’est la raison pour laquelle, afin de briser certains tabous, plusieurs auteurs et éditeurs, habitant en Europe mais originaires du continent, ont décidé de faire entendre leur voix, malgré l’indifférence des maisons d’éditions et la frilosité des diffuseurs. Bien souvent, la seule voie possible consiste à s’auto-publier et/ou à monter sa propre structure d’édition.

› Accédez à l'intégralité de l'article

La littérature de jeunesse patrimoniale numérisée

À côté de la production commerciale, il existe aussi une offre proposée par des institutions, françaises et étrangères, de documents et livres pour la jeunesse numérisés. Cette offre gratuite et accessible à tout public est encore mal recensée. Mais elle se développe rapidement grâce à des programmes de numérisation – dispersés ou concertés – qui visent à sauvegarder et à valoriser ces fonds enfin considérés comme des objets patrimoniaux.
Les auteurs de cet article vous proposent un état des lieux provisoire de ces collections numérisées et des stratégies expérimentées sur différents sites institutionnels pour valoriser ces ressources en ligne.

› Accédez à l'intégralité de l'article