Océan Indien
Bestiaire mauricien
Ces contes mettent à l’honneur la faune mauricienne avec des rencontres qui sont aussi des occasions de découverte de la flore.
CB
Océan Indien
Ces contes mettent à l’honneur la faune mauricienne avec des rencontres qui sont aussi des occasions de découverte de la flore.
CB
Océan Indien
Après avoir essayé d’aller à l’école, Daba est déterminé : il n’aime pas l’école, il préfère rester à la maison. Seulement voilà, au fil du temps ce petit garçon devient « idiot », on l’appelle « Daba Wure » c’est à dire «l’idiot qui bave ». Rien n’a de sens à ses yeux.
CB, LM
Océan Indien
Un « dalon » en créole réunionnais, c’est un ami, un camarade. On va donc suivre l’amitié reliant deux volcans émergeant des mers à quelque temps d’intervalle, devenant peu à peu inséparables, se soutenant mutuellement même après que l’un d’eux en soit venu à s’éteindre.
JP
Océan Indien
Parsad, originaire de Triolet à l’île Maurice, est facteur depuis maintenant 35 ans. Durant sa carrière, il a arpenté tous les quartiers de la ville, mais ce qu’il préfère c’est traverser cette forêt où il se sent revivre.
LM
Caraïbe
À l’origine des temps, les animaux sont traumatisés par le crocodile qui les terrorise tous. Chaque animal, tel qu’on le connaît aujourd’hui, a évolué à cause de cette peur : le cou de la girafe s’est allongé, le zèbre s’est rayé... De caractère particulièrement peureux, toujours cachée, la Mangouste est l’animal le plus opposé au crocodile.
CB
Océan Indien
Écrit par une enseignante ayant vécu à Mayotte et actuellement en poste en Martinique, ce conte propose l’histoire de la naissance de l’île hippocampe : une princesse ayant décidé de créer une île, veut lui donner la forme d’un animal.
JP
Océan Indien
D’un côté il y a un coin de la Terre étrange, dans le ciel duquel les baleines chantent. Mais dans ce pays triste et gris, la pluie ne cesse de tomber. De l’autre côté, il y a Gonzague qui passe son temps à fabriquer des boîtes à musique. Il a un rêve : capturer le chant des baleines.
CB
Océan Indien
Mahiya est une petite fille qui a peur de tout, et surtout du noir : elle redoute que ses yeux se ferment à tout jamais comme ceux de sa grand-mère. Tout l’effraie : la passiflore, le lémurien etc.. Prisonnière de ses angoisses, elle en est enveloppée comme dans un cocon, une chrysalide d’où sortira un papillon qui s’envolera avec elles.
CB
Monde Arabe
Après des mois de travail, le jardinier est convaincu : son verger est le seul, l’unique de la vallée ! Il escalade fièrement la montagne avoisinante et jette un coup d’œil alentour. Ah, il faut bien reconnaître que son verger n’est pas le seul, il y en a un pas loin du sien… Bon, qu’à cela ne tienne, le jardinier affirme que son verger n’est peut-être pas le seul, mais qu’il est sûrement le plus grand ! Ayant grimpé de quelques mètres supplémentaires, il doit bien se rendre à l’évidence : son verger n’est ni le plus grand… Ni le plus riche… Ni le plus beau…
HC
Monde Arabe
L'éléphant réunit ses amis les animaux. Il leur propose de bâtir, en unissant leurs efforts, une maison pour tous. Ils acceptent avec enthousiasme et, une fois les tâches réparties, se mettent au travail avec entrain. La maison est bientôt terminée.
LV
Madame Zikan, surnommée Zik par ses élèves, professeure de SVT et particulièrement sensible aux questions d'environnement, donne un devoir bien particulier : trouver une feuille d'attiéké. Quatre élèves mènent l'enquête et partent à la recherche de la feuille.
Dans ce très bel album, l’autrice libanaise Fatima Sharafeddine nous raconte les souvenirs que son grand-père évoquait devant elle lorsqu’elle était petite, concernant le mode de vie pendant sa propre enfance, et en particulier de nombreuses professions aujourd’hui disparues : rémouleur, brodeuse, fabricant de balais en paille, vendeur ambulant de pétrole lampant, réparateur de réchaud à pétrole, cordonnier, cardeur, makari (« taxi » à l’ancienne sur un âne), colporteur, forgeron, porteur, vendeur d’oiseaux, chaudronnier…
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Le village de l’îlet Bois de couleur est un village paisible, en bordure de la forêt qui lui a donné son nom. C’est un bois magnifique avec des essences d’arbres rares : bois maigre aux minuscules fleurs roses, immenses tans rouges, bois de nèfles aux petites fleurs rosées, tamarins tortueux ou brandes aux troncs noueux.