Océan Indien
Contes de l’île Maurice
Ce recueil de contes propose des textes issus du travail de collecte de Charles Baissac au XIXe siècle. Il reprend le jeune héros bien connu de la tradition orale mauricienne.
CB
Océan Indien
Ce recueil de contes propose des textes issus du travail de collecte de Charles Baissac au XIXe siècle. Il reprend le jeune héros bien connu de la tradition orale mauricienne.
CB
Océan Indien
Ces contes mettent à l’honneur la faune mauricienne avec des rencontres qui sont aussi des occasions de découverte de la flore.
CB
Océan Indien
Après avoir essayé d’aller à l’école, Daba est déterminé : il n’aime pas l’école, il préfère rester à la maison. Seulement voilà, au fil du temps ce petit garçon devient « idiot », on l’appelle « Daba Wure » c’est à dire «l’idiot qui bave ». Rien n’a de sens à ses yeux.
CB, LM
Océan Indien
Un « dalon » en créole réunionnais, c’est un ami, un camarade. On va donc suivre l’amitié reliant deux volcans émergeant des mers à quelque temps d’intervalle, devenant peu à peu inséparables, se soutenant mutuellement même après que l’un d’eux en soit venu à s’éteindre.
JP
Océan Indien
Parsad, originaire de Triolet à l’île Maurice, est facteur depuis maintenant 35 ans. Durant sa carrière, il a arpenté tous les quartiers de la ville, mais ce qu’il préfère c’est traverser cette forêt où il se sent revivre.
LM
Caraïbe
À l’origine des temps, les animaux sont traumatisés par le crocodile qui les terrorise tous. Chaque animal, tel qu’on le connaît aujourd’hui, a évolué à cause de cette peur : le cou de la girafe s’est allongé, le zèbre s’est rayé... De caractère particulièrement peureux, toujours cachée, la Mangouste est l’animal le plus opposé au crocodile.
CB
Océan Indien
Écrit par une enseignante ayant vécu à Mayotte et actuellement en poste en Martinique, ce conte propose l’histoire de la naissance de l’île hippocampe : une princesse ayant décidé de créer une île, veut lui donner la forme d’un animal.
JP
Océan Indien
D’un côté il y a un coin de la Terre étrange, dans le ciel duquel les baleines chantent. Mais dans ce pays triste et gris, la pluie ne cesse de tomber. De l’autre côté, il y a Gonzague qui passe son temps à fabriquer des boîtes à musique. Il a un rêve : capturer le chant des baleines.
CB
Océan Indien
Mahiya est une petite fille qui a peur de tout, et surtout du noir : elle redoute que ses yeux se ferment à tout jamais comme ceux de sa grand-mère. Tout l’effraie : la passiflore, le lémurien etc.. Prisonnière de ses angoisses, elle en est enveloppée comme dans un cocon, une chrysalide d’où sortira un papillon qui s’envolera avec elles.
CB
Monde Arabe
Après des mois de travail, le jardinier est convaincu : son verger est le seul, l’unique de la vallée ! Il escalade fièrement la montagne avoisinante et jette un coup d’œil alentour. Ah, il faut bien reconnaître que son verger n’est pas le seul, il y en a un pas loin du sien… Bon, qu’à cela ne tienne, le jardinier affirme que son verger n’est peut-être pas le seul, mais qu’il est sûrement le plus grand ! Ayant grimpé de quelques mètres supplémentaires, il doit bien se rendre à l’évidence : son verger n’est ni le plus grand… Ni le plus riche… Ni le plus beau…
HC
Le grand frère de la narratrice est l’objet de la colère quasi muette de sa mère. Des sourcils froncés sur la page de gauche, une unique réprobation sans explication sur la page de droite : « Valéry ! » Mais qu’a donc bien pu faire ce grand frère pour provoquer l’ire maternelle ? Le suspens dure au cours de double-pages où la petite sœur s’interroge en repensant à la journée qui vient de s’écouler sereinement entre lac, montagne et arbres fruitiers. Pendant ce temps-là, nous tournons les pages et notre regard est attiré par un tout petit pot de miel présent sur chaque numéro de page comme un rappel du titre et une annonce du dénouement.
Ayant passé une enfance heureuse avec ses parents et ses huit frères et sœurs dans une grande maison individuelle, rose avec des volets verts, aux chambres confortables et à l’immense terrasse sur le toit, notre héroïne est obligée de fuir sa patrie à cause de la guerre.
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Ce superbe leporello, orné d’illustrations en papier découpé sur fond blanc, nous narre, en Kréol au verso et en français au recto, avec beaucoup de tendresse et de délicatesse l’attente de la future rencontre entre une maman et son bébé. Ce livre de naissance très abouti propose un tour sensoriel et poétique de l’île de la Réunion. Un régal pour les yeux et les oreilles !