Découvrir les lieux de lecture à Madagascar
Comment l’offre de lecture pour la jeunesse s’organise-t-elle à Madagascar, dans ce pays de 20 millions d’habitants où 45 % de la population a moins de 14 ans ?
Comment l’offre de lecture pour la jeunesse s’organise-t-elle à Madagascar, dans ce pays de 20 millions d’habitants où 45 % de la population a moins de 14 ans ?
Les histoires de Yao et Akuwa raconte l’enfance d’un frère et d’une sœur de la naissance à l’adolescence. Dans ce premier volume, nous partageons la petite enfance des deux enfants nés à deux ans d’intervalle. Ils s’aiment et se chamaillent, se jalousent, se taquinent et se protègent : solidarité face à l’école, complicité dans les bêtises et concurrence pour capter l’attention des parents.
Nous ouvrons le carnet intime de Rayyan, douze ans : du texte bien sûr, mais aussi des croquis rapides ou des dessins élaborés, des collages de photos, de timbres postaux, de pages détachées d’autres cahiers, des remarques, des petits mots doux, des mots de colère ou de tristesse, avec différentes écritures reproduites dans diverses couleurs aussi, etc. La lecture des premières pages nous plonge dans un roman qui, avec le prétexte d’offrir à lire les pensées d’un petit garçon et la manière dont il a envie de nous présenter son quotidien, nous raconte une histoire, celle de Rayyan, dont la maman est morte dans un accident de voiture, et qui vit avec son père pilote d’avion, souvent en voyage, et sa grand-mère.
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.