Découvrir les lieux de lecture à Madagascar
Comment l’offre de lecture pour la jeunesse s’organise-t-elle à Madagascar, dans ce pays de 20 millions d’habitants où 45 % de la population a moins de 14 ans ?
Comment l’offre de lecture pour la jeunesse s’organise-t-elle à Madagascar, dans ce pays de 20 millions d’habitants où 45 % de la population a moins de 14 ans ?
Dans cet imagier bilingue français-yoruba, chaque page cartonnée représente des animaux sauvages au regard très expressif comme si, loin d’être sauvages, ils étaient des présences familières tels des personnages de dessins animés. Les images sont d’une très grande lisibilité pour l’enfant. Le mot est écrit deux fois, une première en yoruba, une seconde, tel qu’il doit être phonétiquement prononcé comme le suggère le pictogramme du haut-parleur.
Dans ce très bel album, l’autrice libanaise Fatima Sharafeddine nous raconte les souvenirs que son grand-père évoquait devant elle lorsqu’elle était petite, concernant le mode de vie pendant sa propre enfance, et en particulier de nombreuses professions aujourd’hui disparues : rémouleur, brodeuse, fabricant de balais en paille, vendeur ambulant de pétrole lampant, réparateur de réchaud à pétrole, cordonnier, cardeur, makari (« taxi » à l’ancienne sur un âne), colporteur, forgeron, porteur, vendeur d’oiseaux, chaudronnier…
Aaron est un jeune héros qui prend la mer sur son voilier. Au fur et à mesure de son périple, il découvre des problématiques liées à l’environnement : la présence du plastique, la méconnaissance de certains à propos des espèces menacées, etc.
Un très gourmand maki veut manger un morceau du gâteau au chocolat de la petite Toni. Pour se faire, il demande de l’aide à la souris, à l’oiseau papangue, au serpent…