Océan Indien
Darafify
Édition bilingue français–malgache
Ce conte malgache traditionnel est adapté par Johary Ravaloson et illustré par les élèves de l’école d’Ampanotoamaizine.
CB
Océan Indien
Ce conte malgache traditionnel est adapté par Johary Ravaloson et illustré par les élèves de l’école d’Ampanotoamaizine.
CB
Océan Indien
Petit Liam a du mal à garder en lui toute sa colère. Il s’imagine être un guerrier Moraingy et se donne le droit de laisser exploser toute sa colère. Mamiedouce essaie de dévier son agressivité en fabriquant des cocottes avec un beau tissu rouge, rouge comme la colère de Petit Liam mais il se prend les pieds dans le tissu, trébuche !
CB
Afrique
Un petit caméléon fait des complexes. Non seulement il ne se trouve pas beau, mais il craint de porter malheur. Il va consulter une magicienne qui a la réputation d'embellir ceux qui font appel à ses pouvoirs. Celle-ci fera fuir le serpent qui pourchasse le caméléon et lui apprendra à s'accepter en prenant conscience de sa beauté intérieure. C'est une fable un peu convenue, mais rehaussée par des illustrations vigoureuses et une mise en page inventive, et qui se termine heureusement sur une pirouette.
CR
Afrique
M’Bolo, que l’on connaît aussi sous le nom de Leuk et de bien d’autres encore dans tous les contes de l’Afrique de l’Ouest, symbolise la malice et la ruse, sous l’aspect inoffensif d’un petit lièvre à qui l’on fait confiance. Envoyé par sa maman se débrouiller tout seul dans la brousse, M’Bolo va croiser nombres d’animaux et vivre autant d’aventures. À l’issue de chacune, une morale s’imposera, comme par exemple : « Avant de te moquer des fesses sales de ton voisin, vérifie que les tiennes sont bien propres ». On vient même consulter notre héros pour régler des querelles de village et des problèmes conjugaux !
ST
Monde Arabe
Abou Karkoubeh, « Monsieur Bazar », est un homme seul qui ne peut s’empêcher d’accumuler chez lui tournevis, bouteilles de toutes sortes, casseroles et couverts, papiers, clés... Sa maison en est pleine et bientôt, il ne reste plus de place pour lui. Il dort et vit sur son canapé jaune, l’unique endroit encore vide de sa demeure. Le narrateur, un enfant du quartier, et ses amis s’inquiètent pour cet homme et décident de l’aider. En son absence, ils vident sa maison. Mais Abou Karkoubeh ne quitte pas son canapé jaune pour autant. Petit à petit, il se remet à remplir les lieux de mille et un objets.
SR
Monde Arabe
Le corbeau ne sait que faire de ses journées, il n’est capable de rien. Tout d’un coup, il se dit qu’il a envie de devenir chanteur. Comme on se l’imagine, l’idée ne plaît pas aux autres animaux qui doivent supporter son chant peu mélodieux. Personne n’arrive à le convaincre d’arrêter et cela devient insupportable. Le rossignol réussit finalement à détourner le corbeau de sa nouvelle passion ; patiemment, il lui apprend le chant et le solfège. Le corbeau s’achète une flûte… et c’est la révélation, il est doué ! Petit à petit, tous les animaux se mettent à apprendre à jouer d’un instrument. Aujourd’hui, dans cette forêt, leur musique vous fait rêver de jour comme de nuit.
SR
Monde Arabe
Randa est à l’âge où l’on apprend les chiffres. Elle s’amuse en comptant tout sur son chemin : les escargots, les nuages, les antennes paraboliques, les pigeons… tout ce qu’elle peut compter. Elle adore compter les jours, très nombreux sur le calendrier de la salle de classe.
SA
Afrique
Il était une fois un pays lointain où les enfants oubliaient la nuit tout ce qu'ils apprenaient le jour à l'école. Comment faire pour se souvenir des leçons du maître ? Akouba, un petit garçon, tente de conserver ce qu’il a appris sur différents supports : du sable, des galettes en terre séchée… Malheureusement, tous les supports se dégradent ou s’effacent. Parviendra-t-il à trouver une solution ?
ST
Monde Arabe
De retour de l’école, Arij est maussade : la ville est polluée, pleine de fumées et d’odeurs désagréables. D’habitude, sur le chemin de la maison, elle croise « La grand-mère des roses » qui vend à bas prix des fleurs sur une charrette ; elles se parlent un peu au milieu des parfums des fleurs, et cela égaie la journée de la petite fille. Mais voilà, aujourd’hui la grand-mère des roses n’était pas à l’endroit habituel…
HC
Monde Arabe
La petite Yara a une relation privilégiée avec Assil (ou Pur-sang), le cheval qu’elle monte. Elle lui raconte ses secrets et a l’impression qu’il comprend tout ce qu’elle lui dit. Yara s’entraîne à la course d’obstacles avec Assil et elle a hâte de montrer son savoir-faire à ses parents ! Mais le jour où les parents viennent pour assister à l’entraînement pour la première fois, tout va de travers ! Yara est tendue, nerveuse, et Assil rate tout : il refuse de sauter le premier obstacle, et quand Yara insiste pour le faire sauter, il la désarçonne. La désillusion de la fillette est immense…
HC
Tel un taxi brousse sillonnant villages et quartiers, dans lequel s’échangent des histoires de vie, Solo Niaré nous conte vingt fables, plus réalistes et cruelles les unes que les autres. Prenant pour décor l’univers de la savane, il donne la parole aux animaux pour tenter de traduire le monde qui nous entoure.
Un voyageur, épuisé par un long périple, arrive aux portes du Darbistan « pays de la bonté et de la générosité ». Dès son entrée dans le souk, à chaque fois qu’il pénètre dans un magasin, il est assailli par un commerçant qui veut lui offrir quelque chose : de la nourriture, des boissons, des vêtements, un parapluie... Notre voyageur est gêné, surtout qu’on ne lui donne jamais l’occasion de dire ce qu’il cherche...
Publié en 2004 aux éditions Gallimard dans la collection Haute Enfance, ce récit autobiographique de Daniel Maximin nous plonge au cœur de l’île aux belles-eaux, le nom amérindien de la Guadeloupe.
Sam quitte les Etats Unis avec Rosa, sa mère, pour rejoindre son père, Charly à Paris. Nous sommes dans les années 1950, et celui-ci, trompettiste, a fui la ségrégation et joue dans les clubs de Saint-Germain-des-Prés.